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martes, 14 de abril de 2009

VERALIPRIDE RETRAIT 2007 (2)


2007-10-15

Communiqué de presse

Retrait d'AMM

mise à jour : 15 octobre 2007

Retrait de l'AMM d'AGREAL

En juillet 2007, l'Afssaps a annoncé le retrait de l'AMM, dans l'ensemble des états européens, de la spécialité AGREAL (véralipride), médicament neuroleptique indiqué dans le traitement des bouffées de chaleur de la ménopause. La réévaluation européenne du véralipride a en effet conclu à une balance bénéfice/risque défavorable du fait des risques d'effets indésirables psychiatriques et neurologiques, dont certains potentiellement irréversibles. Le rappel des lots sera effectué le 22 octobre et Agréal ® ne sera en conséquence plus disponible dans les officines à cette date.

AGREAL (véralipride) est un médicament neuroleptique indiqué dans le traitement des bouffées de chaleur de la ménopause, lorsqu'elles sont invalidantes et altèrent la qualité de vie. En France, il bénéficiait d'une AMM depuis décembre 1979. Il était commercialisé dans 5 autres pays européens (Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et Portugal).

En 2005, l'Espagne a décidé de retirer l'AMM d'AGREAL, principalement du fait d'événements indésirables psychiatriques . D'autres pays qui s'étaient engagés en parallèle dans une réévaluation de la balance bénéfice/risque (France, Italie, Portugal) ont conclu que celle-ci restait favorable mais nécessitait de renforcer les informations sur les effets indésirables de ce médicament neuroleptique et de limiter le traitement à une durée totale de trois mois, par cures de 20 jours par mois. En effet, le bénéfice dans le traitement des bouffées de chaleur a été confirmé pour les femmes dont la qualité de vie était altérée par ces symptômes et qui ne pouvaient pas prendre de traitement hormonal substitutif de la ménopause (THM). Par ailleurs, les effets indésirables surviennent en général au-delà de trois mois.

En 2006, les différences de position observées entre états ont conduit l'Agence européenne du médicament (EMEA) à réévaluer AGREAL afin d'adopter une position commune. Cette nouvelle évaluation a conclu à une balance bénéfice/risque défavorable et a conduit l'EMEA à recommander le retrait de l'AMM d'AGREAL en Europe. En effet, le Comité scientifique de l'EMEA (CHMP) a estimé que l'efficacité d'AGREAL est modérée au regard des risques d'effets indésirables psychiatriques et neurologiques, dont certains potentiellement irréversibles.

Le retrait de l'AMM sera effectif à compter du 24 octobre 2007. Cependant, la spécialité AGREAL sera disponible dans les officines jusqu'au 22 octobre 2007, date à laquelle sera effectué le rappel des lots.

Afin d'informer les professionnels de santé, une lettre (pdf, 33ko) leur a été adressée en juillet 2007. De plus, un document questions/réponses (pdf, 10ko) destiné aux patientes est, par ailleurs, disponible sur le site Internet de l'Afssaps.

lunes, 6 de abril de 2009

MINISTERIO DE SANIDAD ESPAÑOL-IDENTICO AL PROSPECTO ESPAÑOL????


AGREAL® 100 mg gélules
Mentions légales révisées - 24 février 2006
AGREAL® 100 mg gélules (véralipride)
FORME et PRESENTATION
Gélule (verte) : boîte de 20, sous plaquette thermoformée (PVC/alu)
COMPOSITION
Véralipride (DCI) : 100 mg par gélule, soit 2 g par boîte
Excipients : lactose, amidon, cellulose microcristalline, laurylsulfate de sodium, méthylcellulose, talc, stéarate de magnésium. Enveloppe de la gélule : gélatine, oxyde de titane, indigotine, jaune de quinoléine. Calibrage : n° 2.
Teneur en sodium : 82 ?g.
INDICATIONS THERAPEUTIQUES
Traitement des bouffées vasomotrices invalidantes associées aux manifestations psycho-fonctionnelles de la ménopause confirmée.
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION
Voie orale.
Réservé à l’adulte.
La posologie est de 100 mg, soit une gélule par jour, par cure de 20 jours par mois. La durée du traitement est limitée à 3 mois.
CTJ : 0,42 €.
CONTRE INDICATIONS
Ce médicament est CONTRE-INDIQUE dans les cas suivants : hypersensibilité au véralipride ou à l’un des constituants du produit ; tumeur prolactino-dépendante connue ou suspectée, par exemple, adénome hypophysaire à prolactine ; phéochromocytome, connu ou suspecté ; en association aux agonistes dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, quinagolide, ropinirole) (voir interactions) ; en association aux neuroleptiques antipsychotiques et aux neuroleptiques antiémétiques (voir Interactions ; maladie de Parkinson.
MISES EN GARDE ET PRECAUTIONS PARTICULIERES D’EMPLOI
AGREAL est un NEUROLEPTIQUE. Il peut entraîner des dyskinésies et des syndromes parkinsoniens. Il est alors impératif d’arrêter le traitement.
Agréal n’est pas un traitement substitutif estrogénique. Il ne corrige pas l’hypoestrogénie ménopausique et ne peut en aucun cas constituer un traitement des effets de cette carence, en particulier sur les muqueuses génitales et sur l’os.
Effets de classe Syndrome malin : comme avec les autres neuroleptiques, la survenue d’un syndrome malin (hyperthermie, rigidité musculaire, troubles neurovégétatifs, altération de la conscience, augmentation des CPK) est possible. En cas d’hyperthermie, en particulier avec des doses journalières élevées, le traitement doit être interrompu. Allongement de l’intervalle QT : cet effet, connu pour potentialiser le risque de survenue de troubles du rythme ventriculaire grave à type de torsades de pointes, est majoré par l’existence d’une bradycardie (inférieure à 55 battements par minute), d’une hypokaliémie, d’un QT long congénital ou acquis (association à un médicament augmentant l’intervalle QT). Il convient donc de s’assurer avant toute administration de l’absence de facteur pouvant favoriser la survenue de ces troubles du rythme. Il est recommandé d’effectuer un ECG dans le bilan initial des patients devant être traités par un neuroleptique. Des dyskinésies tardives ont été observées au cours de cures prolongées, les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation. Une surveillance mammaire est recommandée en raison du risque de survenue d’hyperprolactinémie chez certaines patientes.
Un syndrome de sevrage avec ou sans anxiété, un syndrome dépressif avec ou sans anxiété, voire une anxiété isolée peuvent survenir entre 2 cures ou à l’arrêt du traitement. Le traitement doit être repris, puis interrompu progressivement.
La surveillance du traitement par véralipide doit être renforcée : chez les sujets ayant des antécédents de crises convulsives en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène ; chez le sujet âgé présentant une plus grande sensibilité à l’hypotension orthostatique et à la sédation.
En l’absence de données, ce médicament est déconseillé en cas d’insuffisance rénale. En raison de la présence de lactose, le médicament ne doit pas être utilisé en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
INTERACTIONS AVEC D’AUTRES MEDICAMENTS ET AUTRES FORMES D’INTERACTIONS
Associations contre-indiquées :
les agonistes dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, quinagolide, ropinirole)
Antagonisme réciproque de l’agoniste dopaminergique et des neuroleptiques.
Neuroleptiques antipsychotiques
Neuroleptiques antiémétiques
Augmentation des effets indésirables neurologiques et psychologiques.
Association déconseillée :
Alcool : majoration par l’alcool de l’effet sédatif des neuroleptiques. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
Associations à prendre en compte :
Antihypertenseurs : effet antihypertenseur et risque d’hypotension orthostatique majoré (effet additif) ;
Autres dépresseurs du système nerveux central : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines : carbamates, captodiame, étifoxine ; hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide.
Majoration de la dépression centrale. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
GROSSESSE ET ALLAITEMENT
Sans objet, médicament indiqué en cas de ménopause confirmée.
EFFETS SUR L’APTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES
L’attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines sera attirée sur les risques de risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.
EFFETS INDESIRABLES
Troubles neuropsychiques : Dyskinésies précoces (torticolis spasmodique, crises oculogyres, trismus) ; Syndrome extrapyramidal :
akinétique avec ou sans hypertonie, et cédant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques,
hyperkinéto-hypertonique, excito-moteur,
akathisie ;
Très rares dyskinésies tardives rapportées au cours de cures prolongées ; Sédation ou somnolence ; Très rares syndromes de sevrage avec ou sans anxiété, syndrome dépressif avec ou sans anxiété ; voire anxiété isolée, notamment entre 2 cures ou à l’arrêt du traitement.
Troubles endocriniens et métaboliques : Hyperprolactinémie réversible à l’arrêt du traitement ; Prise de poids.
Troubles neuro- végétatifs : Hypotension orthostatique.
SURDOSAGE
Crises dyskinétiques neuromusculaires localisées ou généralisées ; Syndrome parkinsonien gravissime, coma. : Traitement symptomatique, réanimation sous étroite surveillance respiratoire et cardiaque continue (risque d’allongement de l’intervalle QT) qui sera poursuivie jusqu’à rétablissement du patient.
PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : ANTIPSYCHOTIQUE NEUROLEPTIQUE BENZAMIDE Code ATC : N05AL06 (système nerveux)
Neuroleptique qui présente expérimentalement une activité antagoniste de la dopamine et une activité antigonadotrope. Il stimule la sécrétion de prolactine.
Le véralipride est dénué de toute activité hormonale ou stéroïdienne.
Propriétés pharmacocinétiques
Le véralipride est bien absorbé par voie orale ; la biodisponibilité des gélules est en moyenne de 80%.
La concentration plasmatique maximale est obtenue 2,5 heures après l’administration. La demi-vie d’élimination est de 4 heures. La clairance totale du véralipride est de 775 ml/min., la clairance totale étant de 250 ml/min en moyenne.
DONNÉES PHARMACEUTIQUES
Durée de conservation : 3 ans à une température ne dépassant pas 30°c.
Liste I - A.M.M. 323 204.7 (1979, révisée 2006) Mise sur le marché 1980 Prix : 8,41 € (20 gélules) Remb Séc. Soc. à 35 % - Agréé Collect.
Laboratoires Grünenthal 100-102, rue de Villiers - 92309 LEVALLOIS-PERRET cedex - Tel. 01 41 49 45 80
Le fichier utilisé pour vous transmettre ces informations a été déclaré à la CNIL. En application des dispositions des articles 32 et suivants de la loi « Informatique et libertés » du 6 août 2004, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification, de vos coordonnées, auprès du Pharmacien Responsable de notre Laboratoire.

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Mots-clés :
* France et psychisme
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)
Leg PSY Lois, réglements, rapports et discours officiels concernant le psychisme dans les pays francophones.
Agréal (véralipride)
Descriptif :
Source : AFSSAPS AGREAL® 100 mg gélules Mentions légales révisées - 24 février 2006 AGREAL® 100 mg gélules (véralipride) FORME et PRESENTATION Gélule (verte) : boîte de 20, sous plaquette thermoformée (PVC/alu) COMPOSITION Véralipride (DCI) : 100 mg par gélule, soit 2 g par boîte Excipients : lactose, amidon, cellulose microcristalline, laurylsulfate de sodium, méthylcellulose, talc, stéarate de magnésium. Enveloppe de la gélule : gélatine, oxyde de titane, indigotine, (...)

EN LO MAS MINIMO, ES PARECIDO AL "PROSPECTO DEL AGREAL EN ESPAÑA"
"EN NADA SRAS. SRES. DEL MINISTERIO DE SANIDAD, FARMACOVIGILANCIA, SANOFI AVENTIS, ABSOLUTAMENTE EN NADA SE PARECE AL PROSPECTO ESPAÑOL"
NO HABRÁ IDO AL DEBATE DE LA EMEA CON UNO COMO ÉSTE???


LABORATORIOS GRÜNENTHAL--AGREAL

mardi 25 avril 2006
Cette lettre a été diffusée par les laboratoires Grünenthal aux professionnels de santé
Source : Agence française de sécurite sanitaire des produits de santé

Levallois Perret, le 18 avril 2006
Information importante de pharmacovigilance
Cher Confrère,
En accord avec l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps), les Laboratoires Grünenthal souhaitent porter à votre connaissance les principales modifications qui ont été apportées au Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP) de la spécialité AGREAL®, gélule (véralipride).
AGREAL®, gélule est indiquée dans le « traitement des bouffées vasomotrices invalidantes associées à des manifestations psycho-fonctionnelles de la ménopause confirmée ».
Le véralipride, principe actif de cette spécialité, fait partie de la classe des neuroleptiques. Une enquête de pharmacovigilance menée en 2005, a confirmé des effets indésirables neurologiques observés classiquement avec les neuroleptiques, à type de dyskinésies et de syndromes extrapyramidaux, notamment des syndromes parkinsoniens, particulièrement en cas de traitements prolongés. Des syndromes anxio-dépressifs, des syndromes de sevrage à l’arrêt du traitement ou entre deux cures ont aussi été notifiés. L’examen de l’ensemble des données a toutefois conclu que le rapport Bénéfice/Risque restait favorable sous réserve de modifications et de renforcement de l’information du produit.
Ainsi, nous attirons votre attention sur les éléments suivants :
La posologie est de 1 (une) gélule par jour. La durée du traitement est limitée à 3 mois, sous forme de cures de 20 jours par mois ;
La survenue d’une dyskinésie ou d’un syndrome extrapyramidal impose l’arrêt du traitement ;
La survenue d’un syndrome de sevrage avec ou sans anxiété, d’un syndrome dépressif avec ou sans anxiété, voire d’une anxiété isolée entre 2 cures ou à l’arrêt du traitement doit conduire à la reprise du traitement et à son arrêt progressif et définitif ;
L’association aux neuroleptiques antipsychotiques et aux neuroleptiques antiémétiques est contre-indiquée.
Les patientes doivent être informées de la nécessité de consulter rapidement un médecin en cas de survenue de ces troubles.
Pour plus d’information, vous trouverez ci-joint le nouveau texte du RCP que nous vous recommandons de lire attentivement.
Nous vous rappelons que tout effet indésirable grave ou inattendu doit être déclaré au Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) dont vous dépendez (coordonnées disponibles sur le site Internet de l’AFSSAPS, www.afssaps.sante.fr).
Notre Département d’Information Médicale et Scientifique se tient également à votre disposition pour toute information complémentaire au Numéro Vert 0800 77 99 03.
Nous vous prions de croire, Cher Confrère, en l’assurance de notre considération la meilleure.
Docteur Valérie Legout Directeur Médical
RECONNAÎTRE LES SUITES.
¿ Parce que les collègues français, doit passer par les tribunaux?





lunes, 23 de marzo de 2009

Veralipride-Francia


AÑO 1980 Elsevier, Paris, FRANCE VERALIPRIDE.
Enfermedades del sistema nervioso, enfermedades del sistema nervioso central, trastorno cerebral, enfermedad vascular, enfermedad de la piel, enfermedades cardiovasculares, la toxicomanía, síndrome Extrapiramidal. Tratamiento VERALIPRIDE.

AÑO 1985 ESTUDIO en Francia VERALIPRIDE.
Crea DEPENDENCIA la toma de la VERALIPRIDE.

AÑO 1986 ESTUDIO en Francia VERALIPRIDE.
Tardía "blefaroespasmo" después de la retirada VERALIPRIDE.


AÑO 1990 ESTUDIO en Francia Veralipride.
Parkinsonismo durante tratamiento con Veralipride.

AÑO 1993 ESTUDIO en Francia VERALIPRIDE.
SÍNDROMES de ABSTINENCIA después de VERALIPRIDE

COMO ES QUE EXISTIENDO ÉSTOS ESTUDIOS, AUN CON NUESTRAS COMPAÑERAS LUCHADORAS EN FRANCIA ¿SE SEGUÍA AUTORIZANDO Y RECETANDO ESTE "VENENO DE AGREAL-VERALIPRIDE?.


jueves, 12 de marzo de 2009

CHANTAL ENTREVISTADA EN EL PERIÓDICO "LE DAUPHINE" - AGREAL FRANCIA -


CRAN-GEVRIER


Después de la toma de una medicina para tratar la menopausia: una víctima cuenta su calvario

por La Redacción de DL ¦ el 11/03/09


Su cara angulosa casi flota detrás de sus gafas rodeadas. Del golpe, sus ojos claros parecen asustado por el asunto y sobre todo prensado de contar. Rápidamente, rápidamente, antes de tomar el riesgo de perder el hilo. Entonces, Chantal Midenet, 57 año, coge a llena mano la devanadera de su existencia y cuenta sus dolorosos años de sufrimientos físicos y psicológicos. La pérdida de «14 kilos entre los que estamos 7 en 5 días». Un calvario que lleva el nombre de Agréal (marca registrado), una medicina mucho tiempo administrado en el tratamiento de la menopausia y hoy prohibido a la venta. Todo comienza en 2005. Como numerosas quincuagenarias, Chantal, en presa a tufaradas de calor, consulta a su internista. Ella le prescribe primero el Tratamiento Hormonal Substitutivo (THS) luego, por falta del resultado, de Agréal. «Señalándome que fue prohibido en España». ¿Dudas lo asaltan? «No, confiaba en él. Cuando creo que a menudo le aportaba vasijas de mermelada». El tratamiento parece convenir, también «ella me hizo tres disposiciones de seis meses al 25 de febrero de 2007». Luego todo vacila. «Los últimos meses de toma, yo no tenía ganas más de salir, como si estuviera "ausente", y comenzaba a crecer». Por no ser oída por su internista, ella consulta otro que la ordena que pare inmediatamente las medicinas. «Fui cansada todo el tiempo, muy tenía frío, de dolores muy fuertes en el vientre. Y el corazón que latía, como si él fuera a salir de mi pecho». Y sin embargo, el peor hay que venir... Los 7 de marzo, el día en que habría debido recuperar un folleto de Agréal, es el principio de la bajada en los infiernos« Yo estaba en estado de falta, abofeteaba dientes.

«Yo no podía valorar más de pie, andar, escribir, memorizar las cosas. Tenía la impresión de sentir la vida irse, marchitarse. ¡Estaba en falta de neuroleptiques! Abofeteaba dientes, fui sacudida de temblores.» Es la incomprensión. Nada no podía explicar tal estado de sufrimiento. Chantal sospecha muy rápidamente entonces a Agréal. «No tomaba ninguna medicina separada un antiepiléptico en respuesta a un anévrisme cerebral. »Ella quiere saber pero también encontrar una mano tendida para sacar la cabeza del agua mémoriser les choses.

«Una mañana de diciembre, tuve pensamientos negros» ella reconoce. Rodeada de los cuidados de su esposo, Chantal recupera despacio gusto a la vida. Todas las mujeres bajo Agréal no tendrán esta posibilidad. Es lo que va a descubrirChantal practicando surf sobre la Red. Sin embargo refractaria a la cosa informática, se inscribe sobre sitios de diálogos. Y allí, es el electrochoque. Los testimonios recogidos por Aaavam (¹) son abrumadores: depresión, tentativas de suicidios, temblores, dyskinésies tardío hasta los diez años después de la toma de Agréal¿«Y cuántas mujeres no conocen el lazo de causa a efecto entre sus confusiones y la medicina? Las familias tienen el derecho de saber» ella pleitea. Cartas alcanzaron bien al ministro de Sanidad. «Ella se compadece pero informa que los efectos secundarios no son reconocidos» se aflige Chantal. Le gustaría tanto que justicia fuera hecha «con respecto a estos médicos y farmacéuticos que continuaron administrando o librando del Agréal después de la fecha de retirada decidida por Afssaps (²), afirma, y que conocían demasiado bien los riesgos expuestos por los usuarios». ¡Sobre todo que estuvo arreglado bajo los neuroleptiques en VidalMás de dos años después, Chantal se recupera muy lentamente gracias a un homeópata y una gruesa dosis de coraje y de tenacidad. La recaída nunca es mucho lejos cuando el frío se hace tenaz. «No puedo decir si, un día, esto se parará».

(¹) Aaavam: Asociación de ayuda a las víctimas de los accidentes de las medicinas
(²) Afssaps: Agencia francesa de seguridad sanitaria de los productos de salud
.(²) Afssaps : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
MARCAS
AGRÉAL

Agréal, puesto en el mercado en 1979, fue prescrito a más de 200 000 mujeres en Francia, cada año. El mercado era, por su parte, de 4 a 5 millón de mujeres sobre el plan nacional. Era un derivado de Dogmatil, un neuroleptique descubierto en 1965 (para llamada, los neuroleptiques tratan ciertas enfermedades psiquiátricas de la esquizofrenia).

Después de la retirada del mercado español en 2005, centenas de Españolas denunciaron al civil y al penal. En Francia, Aaavam contemplaba una acción agrupada en daños y perjuicios contra el laboratorio y distribuidor, Sanofi-Grünental (fuente: Salud Revista, n°85).
Krystel BABLÉEKrystel BABLÉEAparecido en la edición 01G del 11/03/2009 (76237






ASOCIACIÓN "AGREA-L-UCHADORAS DE ESPAÑA" -- N.I.F.: G-65111056

ASOCIACIÓN "AGREA-L-UCHADORAS DE ESPAÑA" -- N.I.F.: G-65111056
Teléfonos: 630232050 - NUESTRA DIRECTIVA: PRESIDENTA: FRANCISCA GIL QUINTANA--VICEPRESIDENTA: ROSARIO CARMONA JIMENEZ

agrealluchadoras@gmail.com PRESIDENTA-618311204-SECRETARIA: 630232050- VICEPRESIDENTA:636460515