Service de Pharmacologie-Toxicologie
Bulletin d’information du Centre Régional de Pharmacovigilance
de Limoges
N° 40, juillet, août 2007
Bulletin d’information du Centre Régional de Pharmacovigilance
de Limoges
N° 40, juillet, août 2007
Information importante de pharmacovigilance concernant les principales (...)
Information importante de pharmacovigilance concernant les principales modifications qui ont été apportées au RCP de la spécialité AGREAL®, gélule (véralipride) - RCP actualisé le 24 février 2006 mardi 25 avril 2006, par AFSSAPS - Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé Source : AFSSAPS
AGREAL® 100 mg gélules
Mentions légales révisées - 24 février 2006
AGREAL® 100 mg gélules (véralipride)
Information importante de pharmacovigilance concernant les principales modifications qui ont été apportées au RCP de la spécialité AGREAL®, gélule (véralipride) - RCP actualisé le 24 février 2006 mardi 25 avril 2006, par AFSSAPS - Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé Source : AFSSAPS
AGREAL® 100 mg gélules
Mentions légales révisées - 24 février 2006
AGREAL® 100 mg gélules (véralipride)
FORME et PRESENTATION
Gélule (verte) : boîte de 20, sous plaquette thermoformée (PVC/alu)
COMPOSITION
Véralipride (DCI) : 100 mg par gélule, soit 2 g par boîte
Excipients : lactose, amidon, cellulose microcristalline, laurylsulfate de sodium, méthylcellulose, talc, stéarate de magnésium. Enveloppe de la gélule : gélatine, oxyde de titane, indigotine, jaune de quinoléine. Calibrage : n° 2.
Teneur en sodium : 82 ?g.
INDICATIONS THERAPEUTIQUES
Gélule (verte) : boîte de 20, sous plaquette thermoformée (PVC/alu)
COMPOSITION
Véralipride (DCI) : 100 mg par gélule, soit 2 g par boîte
Excipients : lactose, amidon, cellulose microcristalline, laurylsulfate de sodium, méthylcellulose, talc, stéarate de magnésium. Enveloppe de la gélule : gélatine, oxyde de titane, indigotine, jaune de quinoléine. Calibrage : n° 2.
Teneur en sodium : 82 ?g.
INDICATIONS THERAPEUTIQUES
Traitement des bouffées vasomotrices invalidantes associées aux manifestations psycho-fonctionnelles de la ménopause confirmée.
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION
Voie orale.
Réservé à l’adulte.
La posologie est de 100 mg, soit une gélule par jour, par cure de 20 jours par mois. La durée du traitement est limitée à 3 mois.
CTJ : 0,42 €.
CONTRE INDICATIONS
Voie orale.
Réservé à l’adulte.
La posologie est de 100 mg, soit une gélule par jour, par cure de 20 jours par mois. La durée du traitement est limitée à 3 mois.
CTJ : 0,42 €.
CONTRE INDICATIONS
Ce médicament est CONTRE-INDIQUE dans les cas suivants :
hypersensibilité au véralipride ou à l’un des constituants du produit ;
tumeur prolactino-dépendante connue ou suspectée, par exemple, adénome hypophysaire à prolactine ; phéochromocytome, connu ou suspecté ; en association aux agonistes dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, quinagolide, ropinirole) (voir interactions) ; en association aux neuroleptiques antipsychotiques et aux neuroleptiques antiémétiques (voir Interactions ; maladie de Parkinson.
hypersensibilité au véralipride ou à l’un des constituants du produit ;
tumeur prolactino-dépendante connue ou suspectée, par exemple, adénome hypophysaire à prolactine ; phéochromocytome, connu ou suspecté ; en association aux agonistes dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, quinagolide, ropinirole) (voir interactions) ; en association aux neuroleptiques antipsychotiques et aux neuroleptiques antiémétiques (voir Interactions ; maladie de Parkinson.
MISES EN GARDE ET PRECAUTIONS PARTICULIERES D’EMPLOI
AGREAL est un NEUROLEPTIQUE.
Il peut entraîner des dyskinésies et des syndromes parkinsoniens. Il est alors impératif d’arrêter le traitement.
Agréal n’est pas un traitement substitutif estrogénique. Il ne corrige pas l’hypoestrogénie ménopausique et ne peut en aucun cas constituer un traitement des effets de cette carence, en particulier sur les muqueuses génitales et sur l’os.
Effets de classe Syndrome malin : comme avec les autres neuroleptiques, la survenue d’un syndrome malin (hyperthermie, rigidité musculaire, troubles neurovégétatifs, altération de la conscience, augmentation des CPK) est possible. En cas d’hyperthermie, en particulier avec des doses journalières élevées, le traitement doit être interrompu. Allongement de l’intervalle QT : cet effet, connu pour potentialiser le risque de survenue de troubles du rythme ventriculaire grave à type de torsades de pointes, est majoré par l’existence d’une bradycardie (inférieure à 55 battements par minute), d’une hypokaliémie, d’un QT long congénital ou acquis (association à un médicament augmentant l’intervalle QT). Il convient donc de s’assurer avant toute administration de l’absence de facteur pouvant favoriser la survenue de ces troubles du rythme. Il est recommandé d’effectuer un ECG dans le bilan initial des patients devant être traités par un neuroleptique. Des dyskinésies tardives ont été observées au cours de cures prolongées, les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation. Une surveillance mammaire est recommandée en raison du risque de survenue d’hyperprolactinémie chez certaines patientes.
Agréal n’est pas un traitement substitutif estrogénique. Il ne corrige pas l’hypoestrogénie ménopausique et ne peut en aucun cas constituer un traitement des effets de cette carence, en particulier sur les muqueuses génitales et sur l’os.
Effets de classe Syndrome malin : comme avec les autres neuroleptiques, la survenue d’un syndrome malin (hyperthermie, rigidité musculaire, troubles neurovégétatifs, altération de la conscience, augmentation des CPK) est possible. En cas d’hyperthermie, en particulier avec des doses journalières élevées, le traitement doit être interrompu. Allongement de l’intervalle QT : cet effet, connu pour potentialiser le risque de survenue de troubles du rythme ventriculaire grave à type de torsades de pointes, est majoré par l’existence d’une bradycardie (inférieure à 55 battements par minute), d’une hypokaliémie, d’un QT long congénital ou acquis (association à un médicament augmentant l’intervalle QT). Il convient donc de s’assurer avant toute administration de l’absence de facteur pouvant favoriser la survenue de ces troubles du rythme. Il est recommandé d’effectuer un ECG dans le bilan initial des patients devant être traités par un neuroleptique. Des dyskinésies tardives ont été observées au cours de cures prolongées, les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation. Une surveillance mammaire est recommandée en raison du risque de survenue d’hyperprolactinémie chez certaines patientes.
PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
Propriétés pharmacodynamiques
•Classe pharmacothérapeutique : ANTIPSYCHOTIQUE NEUROLEPTIQUE BENZAMIDE Code ATC : N05AL06 (système nerveux)
Propriétés pharmacodynamiques
•Classe pharmacothérapeutique : ANTIPSYCHOTIQUE NEUROLEPTIQUE BENZAMIDE Code ATC : N05AL06 (système nerveux)
•Neuroleptique qui présente expérimentalement une activité antagoniste de la dopamine et une activité antigonadotrope. Il stimule la sécrétion de prolactine.
Le véralipride est dénué de toute activité hormonale ou stéroïdienne.
Propriétés pharmacocinétiques
•Le véralipride est bien absorbé par voie orale ; la biodisponibilité des gélules est en moyenne de 80%.
•La concentration plasmatique maximale est obtenue 2,5 heures après l’administration. La demi-vie d’élimination est de 4 heures. La clairance totale du véralipride est de 775 ml/min., la clairance totale étant de 250 ml/min en moyenne.
Le véralipride est dénué de toute activité hormonale ou stéroïdienne.
Propriétés pharmacocinétiques
•Le véralipride est bien absorbé par voie orale ; la biodisponibilité des gélules est en moyenne de 80%.
•La concentration plasmatique maximale est obtenue 2,5 heures après l’administration. La demi-vie d’élimination est de 4 heures. La clairance totale du véralipride est de 775 ml/min., la clairance totale étant de 250 ml/min en moyenne.
DONNÉES PHARMACEUTIQUES
Durée de conservation : 3 ans à une température ne dépassant pas 30°c.
Laboratoires Grünenthal 100-102, rue de Villiers - 92309 LEVALLOIS-PERRET cedex - Tel. 01 41 49 45 80
Le fichier utilisé pour vous transmettre ces informations a été déclaré à la CNIL. En application des dispositions des articles 32 et suivants de la loi « Informatique et libertés » du 6 août 2004, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification, de vos coordonnées, auprès du Pharmacien Responsable de notre Laboratoire.
………………………………………………
Le Centre a pour mission de répondre à vos
questions sur les médicaments.
Les effets indésirables graves ou nouveaux
doivent être déclarés au Centre régional de
pharmacovigilance (décret du 13 mars 1995).
Laboratoires Grünenthal 100-102, rue de Villiers - 92309 LEVALLOIS-PERRET cedex - Tel. 01 41 49 45 80
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questions sur les médicaments.
Les effets indésirables graves ou nouveaux
doivent être déclarés au Centre régional de
pharmacovigilance (décret du 13 mars 1995).
• AGREAL (véralipride).
Ce médicament est un neuroleptique de la famille des benzamides (on trouve par exemple dans cette famille le BARNETIL – sultopride -, ou le DOGMATIL – sulpiride). Le véralipride a eu curieusement une autorisation de mise sur le marché en 1979 dans le « traitement des bouffées vasomotrices invalidantes associées aux manifestations psycho-fonctionnelles de la ménopause confirmée Des essais ont montré que le véralipride avait dans ce cadre une action supérieure à celle du placebo mais inférieure à celle des oestrogènes. Mais, la pharmacovigilance de terrain a montré aussi, comme on pouvait s’y attendre, que ce médicament avait des effets indésirables tout à fait semblables à ceux des autres neuroleptiques : il s’oppose en effet à l’action de la dopamine et stimule la sécrétion de prolactine. Il peut entraîner essentiellement deux types de complications :
- des complications neurologiques : syndromes extra-pyramidaux, c’est-à-dire
parkinsoniens, ainsi que des dyskinésies tardives survenant plutôt chez des femmes recevant des traitements chroniques.
- des complications psychiatriques : états dépressifs et anxieux, phénomènes de sevrage entre les cures.
La gravité de ces effets repose sur la persistance éventuelle des phénomènes de dyskinésie (notamment au niveau bucco-facial) bien après la fin du traitement, ainsi que sur leur risque d’irréversibilité.
Ces effets indésirables ont conduit initialement en France à proposer une réduction de la durée du traitement à 3 mois seulement. Des discordances entre réglementations européennes ont conduit ultérieurement, au mois de juillet 2007, au retrait de l’AMM de ce médicament. Les
manifestations pénibles du climatère sont donc désormais à traiter essentiellement avec un apport hormonal.
Cette évolution au cours du temps de la connaissance des médicaments avec modification du rapport bénéfice / risque n’est pas exceptionnelle. On rappellera deux problèmes :
a) Le diéthylstilboestrol (DES). Cet oestrogène a été donné pendant des années pour prévenir des menaces d’accouchement prématuré. Des pédiatres et des gynécologues Nord-américains ont découvert qu’il pouvait induire des anomalies gynécologiques chez les enfants présents in utero chez les femmes à qui il était administré, ces manifestations gynécologiques ne devenant patentes qu’après la puberté. En conséquence, le DES a été contre-indiqué chez la femme enceinte aux Etats-Unis en 1971, alors même qu’il continuait à être prescrit en Grande-Bretagne et en France. Puis, la Grande Bretagne l’a contre-indiqué en 1973 et, quelques années plus tard, la France en 1977.
Ce médicament est un neuroleptique de la famille des benzamides (on trouve par exemple dans cette famille le BARNETIL – sultopride -, ou le DOGMATIL – sulpiride). Le véralipride a eu curieusement une autorisation de mise sur le marché en 1979 dans le « traitement des bouffées vasomotrices invalidantes associées aux manifestations psycho-fonctionnelles de la ménopause confirmée Des essais ont montré que le véralipride avait dans ce cadre une action supérieure à celle du placebo mais inférieure à celle des oestrogènes. Mais, la pharmacovigilance de terrain a montré aussi, comme on pouvait s’y attendre, que ce médicament avait des effets indésirables tout à fait semblables à ceux des autres neuroleptiques : il s’oppose en effet à l’action de la dopamine et stimule la sécrétion de prolactine. Il peut entraîner essentiellement deux types de complications :
- des complications neurologiques : syndromes extra-pyramidaux, c’est-à-dire
parkinsoniens, ainsi que des dyskinésies tardives survenant plutôt chez des femmes recevant des traitements chroniques.
- des complications psychiatriques : états dépressifs et anxieux, phénomènes de sevrage entre les cures.
La gravité de ces effets repose sur la persistance éventuelle des phénomènes de dyskinésie (notamment au niveau bucco-facial) bien après la fin du traitement, ainsi que sur leur risque d’irréversibilité.
Ces effets indésirables ont conduit initialement en France à proposer une réduction de la durée du traitement à 3 mois seulement. Des discordances entre réglementations européennes ont conduit ultérieurement, au mois de juillet 2007, au retrait de l’AMM de ce médicament. Les
manifestations pénibles du climatère sont donc désormais à traiter essentiellement avec un apport hormonal.
Cette évolution au cours du temps de la connaissance des médicaments avec modification du rapport bénéfice / risque n’est pas exceptionnelle. On rappellera deux problèmes :
a) Le diéthylstilboestrol (DES). Cet oestrogène a été donné pendant des années pour prévenir des menaces d’accouchement prématuré. Des pédiatres et des gynécologues Nord-américains ont découvert qu’il pouvait induire des anomalies gynécologiques chez les enfants présents in utero chez les femmes à qui il était administré, ces manifestations gynécologiques ne devenant patentes qu’après la puberté. En conséquence, le DES a été contre-indiqué chez la femme enceinte aux Etats-Unis en 1971, alors même qu’il continuait à être prescrit en Grande-Bretagne et en France. Puis, la Grande Bretagne l’a contre-indiqué en 1973 et, quelques années plus tard, la France en 1977.
b) Dans le même ordre d’idées, on rappellera qu’un produit considéré actuellement comme un toxique, l’hexachlorophène, qui a été à l’origine de décès d’enfants dont les fesses ont été
enduites de Talc Morhange contaminé accidentellement par cet antiseptique, a été aussi il y a quelques dizaines d’années vanté pour ses propriétés antiseptiques lorsqu’il figurait dans le
dentifrice Signal.
enduites de Talc Morhange contaminé accidentellement par cet antiseptique, a été aussi il y a quelques dizaines d’années vanté pour ses propriétés antiseptiques lorsqu’il figurait dans le
dentifrice Signal.
La connaissance évolue au cours du temps. Il est important d’enregistrer les problems survenant dans les conditions réelles d’utilisation des médicaments ; les essais cliniques s’adressent
à des malades sélectionnés, surveillés. Ces conditions idéales ne sont pas réalisées ultérieurement dans la pratique courante, ce qui conduit à la survenue d’effets indésirables non prévus qu’il estimportant de signaler à la pharmacovigilance.
Marie-Laure Laroche, Louis Merle
……………………………………………
Contre le sentiment
CONNAITRE LES ÉTATS-UNIS ET DU ROYAUME-UNI 1971-1973.
à des malades sélectionnés, surveillés. Ces conditions idéales ne sont pas réalisées ultérieurement dans la pratique courante, ce qui conduit à la survenue d’effets indésirables non prévus qu’il estimportant de signaler à la pharmacovigilance.
Marie-Laure Laroche, Louis Merle
……………………………………………
Contre le sentiment
CONNAITRE LES ÉTATS-UNIS ET DU ROYAUME-UNI 1971-1973.
Chase, T.N., Drug-induced extrapyramidal disorders. Res Publ Ass Nerv Ment Dis, 1972. 50: p. 448.
Thiebaux, M., R. Thiebaux, R. Boyer, F. Debrogne, M. Kiffel, Note sur l'apparition de troubles
extrapyramidaux par le 4560 RP. Ann Med Psychol, 1954. 112: p. 732.
Ayd, F., A survey of drug-induced extrapyramidal reactions. JAMA, 1961. 175(12): p. 1055-1060.
Crane, G.E., Factors predisposing to drug-induced neurologic effects. Adv Biochem Psychopharmacol,
1974. 9(0): p. 269-79
Snyder, S., Greenberg, D., Yamamura, H.I., Antischizophrenic drugs and brain cholinergic receptors.
Affinity for muscarinic sites predicts extrapyramidal effects. Arch Gen Psychiatry, 1974. 31(1): p. 58-61.
Kennedy, P.F., Hershon, H.I., McGuire, R.J., Extrapyramidal disorders after prolonged phenothiazine
therapy. Br J Psychiatry, 1971. 118(546): p. 509-18.
Freyhan, F.A., Therapeutic implications of differential effects of new phenotiazine compounds. Am J
Psychiatry, 1959. 115: p. 577.
Korczyn, A.D., Goldberg, G.J., Extrapyramidal effects of neuroleptics. J Neurol Neurosurg Psychiatry,
1976. 39(9): p. 866-9.
Lehmann, H.E., Ban, T.A., Saxena, B.M., A survey of extrapyramidal manifestations in the inpatient
population of a psychiatric hospital. Laval Med, 1970. 41(7): p. 909-16.
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Kennedy, P.F., Hershon, H.I., McGuire, R.J., Extrapyramidal disorders after prolonged phenothiazine
therapy. Br J Psychiatry, 1971. 118(546): p. 509-18.
Freyhan, F.A., Therapeutic implications of differential effects of new phenotiazine compounds. Am J
Psychiatry, 1959. 115: p. 577.
Korczyn, A.D., Goldberg, G.J., Extrapyramidal effects of neuroleptics. J Neurol Neurosurg Psychiatry,
1976. 39(9): p. 866-9.
Lehmann, H.E., Ban, T.A., Saxena, B.M., A survey of extrapyramidal manifestations in the inpatient
population of a psychiatric hospital. Laval Med, 1970. 41(7): p. 909-16.
Beaucoup d'autres etudes.
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TRADUCTOR INTERNET:
Información adicional sobre farmacovigilancia (...) principal
Información adicional sobre farmacovigilancia se realizaron importantes cambios en el RCP de la especialidad Agreal ®, cápsula (veraliprida) - RCP actualizada 24 de febrero 2006Martes, 25 de abril 2006, por AFSSAPS - Agencia Francesa para la Seguridad de Productos para la Salud.
Fuente: AFSSAPS
Agreal ® 100 mg cápsulas
Pie de imprenta Revisado - 24 de febrero 2006
Agreal ® 100 mg cápsulas (veraliprida)
Forma y el formato
Cápsula (Verde): Caja de 20 blister (PVC / Alu)
COMPOSICIÓN
Veraliprida (DCI): 100 mg por cápsula o 2 g por caja
Excipientes: lactosa, almidón, celulosa microcristalina, laurilsulfato de sodio, metilcelulosa, talco, estearato de magnesio. Cubierta de la cápsula: gelatina, dióxido de titanio, índigo carmín, amarillo de quinoleína.
Sizing: N º 2.Sodio: 82-g
Veraliprida (DCI): 100 mg por cápsula o 2 g por caja
Excipientes: lactosa, almidón, celulosa microcristalina, laurilsulfato de sodio, metilcelulosa, talco, estearato de magnesio. Cubierta de la cápsula: gelatina, dióxido de titanio, índigo carmín, amarillo de quinoleína.
Sizing: N º 2.Sodio: 82-g
INDICACIONES TERAPÉUTICAS
El tratamiento de los sofocos asociados con la psico debilitante manifestaciones funcionales de la menopausia confirmada.
El tratamiento de los sofocos asociados con la psico debilitante manifestaciones funcionales de la menopausia confirmada.
DOSIS Y ADMINISTRACION
Oral. Limitado a los adultos.
La dosis es de 100 mg, una cápsula por día, por curso de 20 días por mes. La duración del tratamiento se limita a 3 meses.
CTJ: 0,42 €.
Oral. Limitado a los adultos.
La dosis es de 100 mg, una cápsula por día, por curso de 20 días por mes. La duración del tratamiento se limita a 3 meses.
CTJ: 0,42 €.
Contraindicaciones
Este medicamento está contraindicado en los siguientes casos:
veraliprida o hipersensibilidad a cualquier componente del producto;
prolactina tumor dependiente conocida o sospechada, por ejemplo, adenoma de la pituitaria prolactina; feocromocitoma, conocidos o presuntos; en combinación con agonistas dopaminérgicos (amantadina, apomorfina, bromocriptina, cabergolina, entacapona, lisurida, pergolida, piribedil, el pramipexol, quinagolida, ropinirol) (ver interacciones); en asociación con antipsicóticos neurolépticos y neurolépticos antieméticos (véase Interacciones; La enfermedad de Parkinson.
ADVERTENCIAS Y PRECAUCIONES ESPECIALES DE EMPLEO:
Agreal es un neuroléptico. Puede causar discinesia y los síndromes parkinsonianos. Es imperativo que se suspenda el tratamiento.
Agreal no terapia de reemplazo de estrógeno. No corrige la menopausia hipoestrogenismo y no puede en ningún caso constituir los efectos del tratamiento de esta deficiencia, especialmente en la mucosa genital y ósea.
Efectos de clase:
Síndrome maligno: Como con otros anti psicóticos, la aparición de síndrome maligno (hipertermia, rigidez muscular, trastornos autonómicos, alteración de la conciencia, aumento de CPK) es posible. En el caso de hipertermia, particularmente con dosis diarias altas, el tratamiento debe ser interrumpido.
El alargamiento del intervalo QT:
Este efecto, conocido por potenciar el riesgo de aparición de arritmias ventriculares graves de tipo tersadas de pointers , se incrementa por la presencia de bradicardia (menos de 55 latidos por minuto), de hipo potase mía, un QT largo congénito o adquirido (combinación de drogas aumenta el intervalo QT). Por consiguiente, debe asegurarse antes de la administración de los factores que pueden favorecer la aparición de estas arritmias. Se recomienda realizar un ECG en el esta di aje de los pacientes a ser tratados con un anti psicótico.
La dicinesia tardía se han observado durante los tratamientos prolongados, los anti colinérgicos anti parkinsonianos son sin la acción o puede causar un empeoramiento.
Un sistema de vigilancia del cáncer de mama se recomienda debido al riesgo de aparición de la hiper prolactinemia en algunos pacientes.
Un síndrome de abstinencia, con o sin ansiedad, un síndrome depresivo, con o sin ansiedad, o ansiedad puede ocurrir solo entre el 2 de tratamientos o interrumpir el tratamiento. El tratamiento debe ser gradual y se reanuda luego interrumpido. Véralipide terapia de seguimiento deben ser fortalecidas:
pacientes con antecedentes de convulsiones debido a la posibilidad de disminuir el umbral convulsivo; pacientes de edad avanzada con una mayor susceptibilidad a la hipotensión ortostática y la sedación.
En ausencia de datos, este medicamento no se recomienda en la insuficiencia renal. Debido a la presencia de lactosa, la droga no debe utilizarse en casos de galactosemia congénita, mala absorción de glucosa y galactosa o deficiencia de lactasa.
INTERACCIONES CON OTROS MEDICAMENTOS Y OTRAS FORMAS DE INTERACCIÓN
Asociaciones-contras de publicación:
• Los agonistas de la dopamina (amantadina, apomorfina, bromocriptina, cabergolina, entacapona, lisurida, pergolida, piribedil, el pramipexol, quinagolida, ropinirol) Antagonismo mutuo de los agonistas de la dopamina y los neurolépticos.
• Los neurolépticos antipsicóticos
• Los neurolépticos antieméticos
Aumento adversas neurológicas y psicológicas.
PROPIEDADES FARMACOLÓGICAS
Propiedades farmacodinámicas
Propiedades farmacodinámicas
• Grupo farmacoterapéutico: antipsicótico benzamida Código ATC: N05AL06 (sistema nervioso)
• Los neurolépticos experimentalmente que esta actividad antagonista de la dopamina y la actividad de gonadotrofinas. Estimula la secreción de prolactina.
Veraliprida carece de cualquier actividad o de la hormona esteroide.
Propiedades farmacocinéticas
Veraliprida carece de cualquier actividad o de la hormona esteroide.
Propiedades farmacocinéticas
• veraliprida se absorbe bien por vía oral, la bio disponibilidad de las cápsulas es un promedio de 80%.
• La concentración plasmática máxima se obtiene a 2,5 horas después de la administración. La vida media es de 4 horas. El aclara miento total de veraliprida es 775 ml / min., El aclaramiento total de 250 ml / min en promedio.
FARMACÉUTICA
Caducidad: 3 años a una temperatura no superior a 30 ° C.
Lista I - A.M.M. 323 204,7 (1979, revisada en 2006) Marketing 1980
Precio: 8,41 € (20 cápsulas) Remb Sec. Soc. al 35% - Registrados Collect.
Laboratoires Grünenthal 100-102, Rue de Villiers - 92309 Levallois-Perret Cedex - Tel.. 01 41 49 45 80El archivo utilizado para enviar esta información ha sido declarado a la CNIL. De conformidad con los artículos 32 y siguientes de la ley "Informatique et Libertés" del 6 de agosto de 2004, dispone de un derecho de acceso y rectificación de su contacto con el farmacéutico jefe en nuestro laboratorio.
…………………………………………….
La misión del Centro es responder a las preguntas acerca de las drogas.
Los eventos adversos graves o nuevas debe ser reportado al Centro Regional de Farmacovigilancia (decreto del 13 de marzo de 1995).
Caducidad: 3 años a una temperatura no superior a 30 ° C.
Lista I - A.M.M. 323 204,7 (1979, revisada en 2006) Marketing 1980
Precio: 8,41 € (20 cápsulas) Remb Sec. Soc. al 35% - Registrados Collect.
Laboratoires Grünenthal 100-102, Rue de Villiers - 92309 Levallois-Perret Cedex - Tel.. 01 41 49 45 80El archivo utilizado para enviar esta información ha sido declarado a la CNIL. De conformidad con los artículos 32 y siguientes de la ley "Informatique et Libertés" del 6 de agosto de 2004, dispone de un derecho de acceso y rectificación de su contacto con el farmacéutico jefe en nuestro laboratorio.
…………………………………………….
La misión del Centro es responder a las preguntas acerca de las drogas.
Los eventos adversos graves o nuevas debe ser reportado al Centro Regional de Farmacovigilancia (decreto del 13 de marzo de 1995).
Agreal (veraliprida).
Esta droga es un neuroléptico de la familia de benzamidas (por ejemplo, hayen este BARNETIL familia - sultoprida - o Dogmatil - sulpirida). Veraliprida.
Curiosamente la autorización de puesta en el mercado en 1979 en el tratamiento de la "caliente de sofocos asociados con la inhabilitación manifestaciones psicológicas y funcionales de la menopausia confirmado. Las pruebas han demostrado que la veraliprida había una parte en esta acción que placebo pero inferior a la de los estrógenos. Sin embargo, el campo de farmacovigilancia mostró también, como se esperaba, que la droga tenía efectos nocivos en la similar a la de otros antipsicóticos: de hecho, se opone a la acción de la dopamina y la estimula la secreción de prolactina. Puede provocar dos tipos principales de complicaciones:
- Las complicaciones neurológicas: síndrome extrapiramidal, es decir, parkinsonismo, discinesia tardía y se produce más en mujeres que reciben tratamientos crónicos.
- Complicaciones psiquiátricos: depresión y la ansiedad, los fenómenos de retirada entre los tratamientos.
La gravedad de estos efectos depende de la posible persistencia de los fenómenos de la discinesia (en particular en bucofacial) mucho después del final del tratamiento, y su riesgo irreversibilidad.
Estos eventos llevaron inicialmente por Francia a proponer una reducción de la duración del tratamiento a 3 meses. Las discrepancias entre los reglamentos de la UE han llevado a cabo más adelante en el mes de julio de 2007, la retirada de la autorización de comercialización de este medicamento. Los dolorosos acontecimientos de la menopausia están principalmente relacionadas con la entrada de la hormona.
La evolución en el tiempo de conocimiento de las drogas con modificados la relación riesgo / beneficio no es excepcional. Recordamos dos problemas:
a) dietilestilbestrol (DES). El estrógeno se dio durante años para evitar amenaza de parto prematuro. Los pediatras y ginecólogos de América del Norte descubrió que podía inducir alteraciones ginecológicas en niños presentes en el útero entre las mujeres que se administró, estos acontecimientos no se conviertan en patentes ginecológicos.
b) Por lo tanto, después de la pubertad, DES ha sido contra-indicado en mujeres embarazadas en los Estados Unidos en 1971, aunque siguió siendo prescritos en Gran Bretaña y Francia.
Entonces, el Gran Bretaña ha cons-informó en 1973 y unos años más tarde, Francia en 1977.
En el mismo sentido, recordamos un producto se considera como un hexaclorofeno tóxicos, que fue la causa de la muerte de los niños cuyas nalgas se Talco Morhange recubiertos accidentalmente contaminados por este producto antiséptico, también estaba allí pocas décadas elogiada por sus propiedades antisépticas, cuando se incluyan en el Pasta de dientes Signal.
En el mismo sentido, recordamos un producto se considera como un hexaclorofeno tóxicos, que fue la causa de la muerte de los niños cuyas nalgas se Talco Morhange recubiertos accidentalmente contaminados por este producto antiséptico, también estaba allí pocas décadas elogiada por sus propiedades antisépticas, cuando se incluyan en el Pasta de dientes Signal.
El conocimiento evoluciona con el tiempo. Es importante registrar los problemas se producen en las condiciones reales de uso de los medicamentos, los ensayos clínicos, cuya finalidad en pacientes seleccionados, controlados. Estas condiciones ideales no se alcanzan más tarde
En la práctica, que conduce a la aparición de efectos secundarios no previstos que es importante que informe a la farmacovigilancia.
En la práctica, que conduce a la aparición de efectos secundarios no previstos que es importante que informe a la farmacovigilancia.
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AGRADIL/VERALIPRIDE_ AÑO 2005
AGRADIL
COMPOSIZIONE QUALITATIVA E QUANTITATIVA -
Ogni capsula rigida contiene:
Principio attivo: veralipride 100 mg.
Per gli eccipienti vedere sez. 6.1
Ogni capsula rigida contiene:
Principio attivo: veralipride 100 mg.
Per gli eccipienti vedere sez. 6.1
FORMA FARMACEUTICA -
Capsule rigide.
Capsule rigide.
INFORMAZIONI CLINICHE -
Indicazioni terapeutiche -
Trattamento delle vampate di calore nella sindrome menopausale.
Posologia e modo di somministrazione -
Una capsula al giorno per un ciclo di 20 giorni, eventualmente ripetibile dopo una sospensione di 7-10 giorni, sotto il diretto controllo del Medico curante. La durata del trattamento deve essere limitata a 3 mesi.
Il rapporto beneficio/rischio deve essere regolarmente rivalutato prima di iniziare un nuovo ciclo.
Controindicazioni -
Indicazioni terapeutiche -
Trattamento delle vampate di calore nella sindrome menopausale.
Posologia e modo di somministrazione -
Una capsula al giorno per un ciclo di 20 giorni, eventualmente ripetibile dopo una sospensione di 7-10 giorni, sotto il diretto controllo del Medico curante. La durata del trattamento deve essere limitata a 3 mesi.
Il rapporto beneficio/rischio deve essere regolarmente rivalutato prima di iniziare un nuovo ciclo.
Controindicazioni -
Ipersensibilità al principio attivo o ad uno qualsiasi degli eccipienti.
Pazienti con tumori prolattino-dipendenti quali prolattinomi ipofisari e cancro mammario.
AGRADIL è controindicato inoltre nelle galattorree, nella mastopatia fibrocistica, nelle displasie mammarie, nelle neoplasie mammarie in atto o sospette.
Pazienti con feocromocitoma, accertato o presunto.
L'impiego con AGRADIL é sconsigliato in pazienti con porfiria acuta in quanto la veralipride è risultata porfirogenica in studi in vitro e nell'animale da esperimento.
Associazione con levodopa e agonisti dopaminergici (vedere sez. 4.5).
Associazione con neurolettici antipsicotici e neurolettici antiemetici (vedere sezione 4.5).
Speciali avvertenze e precauzioni per l'uso
Pazienti con feocromocitoma, accertato o presunto.
L'impiego con AGRADIL é sconsigliato in pazienti con porfiria acuta in quanto la veralipride è risultata porfirogenica in studi in vitro e nell'animale da esperimento.
Associazione con levodopa e agonisti dopaminergici (vedere sez. 4.5).
Associazione con neurolettici antipsicotici e neurolettici antiemetici (vedere sezione 4.5).
Speciali avvertenze e precauzioni per l'uso
Veralipride è un neurolettico.
Veralipride può indurre discinesia acuta e sintomatologia extrapiramidale che richiedono di sospendere definitivamente il trattamento.
Veralipride può indurre discinesia tardiva, soprattutto in caso di trattamento prolungato. In tal caso i farmaci antiparkinson anticolinergici sono inefficaci o possono determinare un aggravamento dei sintomi.
Il trattamento non interferisce con l'ipoestrinismo del climaterio e quindi non influenza gli effetti da carenza estrogenica (distrofie della mucosa genitale e osteoporosi).
La somministrazione di veralipride è stata associata ad un marcato innalzamento del livello di prolattina: vengono pertanto raccomandati controlli senologici periodici.
La somministrazione di veralipride è stata associata ad un marcato innalzamento del livello di prolattina: vengono pertanto raccomandati controlli senologici periodici.
In studi clinici randomizzati versus placebo condotti in una popolazione di pazienti con demenza trattati con alcuni antipsicotici atipici è stato osservato un aumento di circa tre volte del rischio di eventi cerebrovascolari. Il meccanismo di tale aumento del rischio non è noto. Non può essere escluso un aumento del rischio per altri antipsicotici o in altre popolazioni di pazienti.
Agradil deve essere usato con cautela in pazienti con fattori di rischio per stroke.
A causa del lattosio presente nella formulazione i soggetti con rare forme ereditarie di intolleranza al galattosio, deficit di lattasi o malassorbimento di glucosio/galattosio non devono assumere questo medicinale.
Interazioni -
Associazioni controindicate:
Levodopa e agonisti dopaminergici: antagonismo reciproco degli effetti tra agonisti della dopamina e neurolettici.
Neurolettici antipsicotici
Neurolettici antiemetici
Aumento degli effetti indesiderati neurologici e psicologici.
Associazioni non raccomandate:
È norma prudenziale evitare l'associazione con farmaci che inducono iperprolattinemia.
Alcol: l'alcol potenzia gli effetti sedativi di veralipride. Bevande alcoliche e farmaci contenenti alcol non sono raccomandati.
Associazioni da considerare con attenzione:
Farmaci depressori del SNC, quali derivati della morfina, antistaminici H1 sedanti, barbiturici, benzodiazepine, sedativi antidepressivi e ansiolitici, clonidina e derivati: aumento dell'effetto sedativo della veralipride.
Gravidanza e allattamento -
Controindicato: l'uso di AGRADIL durante la gravidanza e l'allattamento non è comunque pertinente in quanto tale prodotto trova la sua indicazione terapeutica nel trattamento dei disturbi della sindrome menopausale.
Effetti sulla capacità di guidare veicoli e sull'uso di macchine -
Poiché il farmaco può indurre sedazione e sonnolenza, i pazienti sotto trattamento devono essere avvertiti affinché evitino di condurre autoveicoli e di attendere ad operazioni richiedenti integrità del grado di vigilanza, per la loro possibile pericolosità .
Effetti sulla capacità di guidare veicoli e sull'uso di macchine -
Poiché il farmaco può indurre sedazione e sonnolenza, i pazienti sotto trattamento devono essere avvertiti affinché evitino di condurre autoveicoli e di attendere ad operazioni richiedenti integrità del grado di vigilanza, per la loro possibile pericolosità .
Effetti indesiderati -
Incremento del peso, sonnolenza.
Iperprolattinemia e disordini correlati: galattorrea, amenorrea, ingrossamento/dolore del seno e disturbi dell'orgasmo.
Incremento del peso, sonnolenza.
Iperprolattinemia e disordini correlati: galattorrea, amenorrea, ingrossamento/dolore del seno e disturbi dell'orgasmo.
Veralipride può indurre galattorrea soprattutto nelle pazienti in cui sia ancora presente una secrezione endogena di estradiolo. Per tale motivo, veralipride non è indicata durante la premenopausa ed è necessario un controllo particolare in caso di precedenti neoplasie mammarie.
Sintomi extrapiramidali precoci e disturbi correlati quali:
parkinsonismo e sintomi correlati: tremore, rigidità , ipocinesia, ipertonia, ptialismo;
discinesia precoce e distonia (torcicollo spasmodico, crisi oculogire, trisma);
akatisia.
discinesia precoce e distonia (torcicollo spasmodico, crisi oculogire, trisma);
akatisia.
Questi sintomi sono in genere reversibili dopo somministrazione di farmaci antiparkinson anticolinergici; si raccomanda tuttavia di interrompere definitivamente il trattamento con veralipride (vedi sez.4.4).
Sono stati riportati casi molto rari, generalmente dopo somministrazione a lungo termine, di discinesia tardiva, caratterizzata da movimenti ritmici, involontari, soprattutto della lingua e/o della faccia (vedere sez. 4.4).
In tal caso i farmaci antiparkinson anticolinergici sono inefficaci o possono determinare un aggravamento dei sintomi.
In casi molto rari sono stati osservati sintomi da astinenza con o senza ansia, o sindromi depressive con o senza ansia all'interruzione del trattamento o nell'intervallo tra due cicli. In tale evenienza si consiglia di riprendere la terapia che deve essere ridotta progressivamente fino a definitiva sospensione.
Effetti di classe:
Sindrome Neurolettica Maligna.
Allungamento dell'intervallo Q-T.
Tali effetti, riportati in casi molto rari con altri neurolettici, non sono stati osservati durante il trattamento con veralipride.
Allungamento dell'intervallo Q-T.
Tali effetti, riportati in casi molto rari con altri neurolettici, non sono stati osservati durante il trattamento con veralipride.
Sovradosaggio -
L'esperienza in caso di sovradosaggio di veralipride è limitata. E' stata riferita una esacerbazione degli effetti farmacologici della veralipride, in particolare episodi neuro-muscolari discinetici locali o generalizzati.
In alcuni casi sindrome parkinsoniana gravissima e coma.
Non esiste un antidoto specifico di veralipride. Il trattamento è unicamente sintomatico. Devono venire istituite appropriate misure di supporto, stretto controllo delle funzioni vitali e monitoraggio cardiaco fino a quando il paziente non si ristabilisce.
In caso di sintomi extrapiramidali gravi, devono venire somministrati farmaci anticolinergici.
In alcuni casi sindrome parkinsoniana gravissima e coma.
Non esiste un antidoto specifico di veralipride. Il trattamento è unicamente sintomatico. Devono venire istituite appropriate misure di supporto, stretto controllo delle funzioni vitali e monitoraggio cardiaco fino a quando il paziente non si ristabilisce.
In caso di sintomi extrapiramidali gravi, devono venire somministrati farmaci anticolinergici.
PROPRIETA' FARMACOLOGICHE -
Proprietà farmacodinamiche -
Proprietà farmacodinamiche -
Categoria farmacoterapeutica: Psicolettici antipsicotici: benzamidi - Codice ATC: N05AL06
La veralipride, appartenente al gruppo delle orto-veratramidi, esercita un antagonismo di tipo selettivo a livello dei recettori D2 ipotalamici ed esplica, a basse dosi, una potente azione antidopaminergica a livello dei centri ipotalamici della termoregolazione o grazie al blocco selettivo degli autorecettori dopaminergici un'efficace azione antidepressiva.
La sua attività farmacobiologica si esplica:
La veralipride, appartenente al gruppo delle orto-veratramidi, esercita un antagonismo di tipo selettivo a livello dei recettori D2 ipotalamici ed esplica, a basse dosi, una potente azione antidopaminergica a livello dei centri ipotalamici della termoregolazione o grazie al blocco selettivo degli autorecettori dopaminergici un'efficace azione antidepressiva.
La sua attività farmacobiologica si esplica:
a livello delle gonadi femminili, con azione antigonadotropa;
a livello del SNC, con azione antidopaminergica;
a livello dell'ipofisi, con azione antigonadotropa (inibizione della formazione delle cellule "da castrazione", diminuzione del 50% dell'ipertrofia dell'ovaio residuo nella emicastrazione).
La veralipride è totalmente sprovvista di azione estrogena sperimentale, esplica una sensibile azione prolattinogena e non modifica le cellule somatotrope.
a livello del SNC, con azione antidopaminergica;
a livello dell'ipofisi, con azione antigonadotropa (inibizione della formazione delle cellule "da castrazione", diminuzione del 50% dell'ipertrofia dell'ovaio residuo nella emicastrazione).
La veralipride è totalmente sprovvista di azione estrogena sperimentale, esplica una sensibile azione prolattinogena e non modifica le cellule somatotrope.
La veralipride non influenza significativamente il livello ematico di FSH, LH, estrone, estradiolo.
Proprietà farmacocinetiche -
La veralipride è bene assorbita per via orale; la biodisponibilità delle capsule è in media dell'80%.
La concentrazione plasmatica massima viene ottenuta circa 2,5 ore dopo la somministrazione.
La sua metabolizzazione è scarsa, come documenta la formazione di metaboliti in piccolissima quantità ; la sua eliminazione avviene attraverso le urine e le feci.
L'emivita di eliminazione è di 4 ore; la clearance totale della veralipride è pari a 775 ml/minuto, essendo la clearance renale in media di 250 ml/minuto.
Dati preclinici di sicurezza -
Proprietà farmacocinetiche -
La veralipride è bene assorbita per via orale; la biodisponibilità delle capsule è in media dell'80%.
La concentrazione plasmatica massima viene ottenuta circa 2,5 ore dopo la somministrazione.
La sua metabolizzazione è scarsa, come documenta la formazione di metaboliti in piccolissima quantità ; la sua eliminazione avviene attraverso le urine e le feci.
L'emivita di eliminazione è di 4 ore; la clearance totale della veralipride è pari a 775 ml/minuto, essendo la clearance renale in media di 250 ml/minuto.
Dati preclinici di sicurezza -
Gli studi di tossicità acuta condotti nel ratto e nel topo, con somministrazione per via orale e intraperitoneale, hanno evidenziato valori della DL50 elevati per entrambe le specie (DL50 nel topo: per os= 3300 mg/Kg, i.p. = 375 mg/Kg, DL50 nel ratto: per os = 5200 mg/Kg, i.p. = 520 mg/Kg).
Gli studi di tossicità a medio e lungo termine, condotti sia nel ratto (fino a dosi di 1250 mg/kg/die e 500-800 mg/kg/die rispettivamente) che nel cane (già a dosi di 180-200 mg/kg), hanno evidenziato la comparsa di fenomeni di intossicazione a dosi >200 mg/kg/die nel cane. Nel ratto tali effetti si sono evidenziati a dosi almeno 5 volte maggiori.
Prove di teratogenicità e mutagenicità , condotte da ricercatori diversi nel topo, nel ratto e nel coniglio, hanno dimostrato l'assenza di interferenze negative. Inoltre non sono stati evidenziati elementi che facciano ritenere che il farmaco possieda potenziale carcinogenetico nella specie umana, alle posologie utilizzate in terapia.
Gli studi di tossicità a medio e lungo termine, condotti sia nel ratto (fino a dosi di 1250 mg/kg/die e 500-800 mg/kg/die rispettivamente) che nel cane (già a dosi di 180-200 mg/kg), hanno evidenziato la comparsa di fenomeni di intossicazione a dosi >200 mg/kg/die nel cane. Nel ratto tali effetti si sono evidenziati a dosi almeno 5 volte maggiori.
Prove di teratogenicità e mutagenicità , condotte da ricercatori diversi nel topo, nel ratto e nel coniglio, hanno dimostrato l'assenza di interferenze negative. Inoltre non sono stati evidenziati elementi che facciano ritenere che il farmaco possieda potenziale carcinogenetico nella specie umana, alle posologie utilizzate in terapia.
INFORMAZIONI FARMACEUTICHE -
Eccipienti -
Lattosio, amido di patata, cellulosa microcristallina, sodio laurilsolfato, metilcellulosa 1500 Cps, talco, magnesio stearato.
Composizione della capsula: gelatina, titanio diossido, indigotina, giallo di chinolina.
Incompatibilità -
Nessuna nota.
Periodo di validità -
5 anni a confezionamento integro e correttamente conservato.
Speciali precauzioni per la conservazione -
Nessuna.
Natura e contenuto della confezione -
20 capsule in blister PVC/alluminio.
Istruzioni per l'uso e la manipolazione -
Nessuna istruzione particolare
Eccipienti -
Lattosio, amido di patata, cellulosa microcristallina, sodio laurilsolfato, metilcellulosa 1500 Cps, talco, magnesio stearato.
Composizione della capsula: gelatina, titanio diossido, indigotina, giallo di chinolina.
Incompatibilità -
Nessuna nota.
Periodo di validità -
5 anni a confezionamento integro e correttamente conservato.
Speciali precauzioni per la conservazione -
Nessuna.
Natura e contenuto della confezione -
20 capsule in blister PVC/alluminio.
Istruzioni per l'uso e la manipolazione -
Nessuna istruzione particolare
TITOLARE DELL'AUTORIZZAZIONE ALL'IMMISSIONE IN COMMERCIO -
SANOFI-SYNTHELABO S.p.A., Via Messina, 38 - Milano
NUMERI DELLE AUTORIZZAZIONI ALL'IMMISSIONE IN COMMERCIO -
AIC n.: 024751012
SANOFI-SYNTHELABO S.p.A., Via Messina, 38 - Milano
NUMERI DELLE AUTORIZZAZIONI ALL'IMMISSIONE IN COMMERCIO -
AIC n.: 024751012
DATA DELLA PRIMA AUTORIZZAZIONE/RINNOVO DELL'AUTORIZZAZIONE -
DATA DI REVISIONE DEL TESTO -
Rinnovo: 01.06.2005
DATA DI REVISIONE DEL TESTO -
Rinnovo: 01.06.2005
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AGRADIL/VERALIPRIDE -2006
RIASSUNTO DELLE CARATTERISTICHE DEL PRODOTTO
1. DENOMINAZIONE DEL MEDICINALE
AGRADIL 100 mg capsule rigide
2. COMPOSIZIONE QUALITATIVA E QUANTITATIVA
Ogni capsula rigida contiene:
Principio attivo: veralipride 100 mg.
Per gli eccipienti vedere sez. 6.1
Ogni capsula rigida contiene:
Principio attivo: veralipride 100 mg.
Per gli eccipienti vedere sez. 6.1
3. FORMA FARMACEUTICA
Capsule rigide.
Capsule rigide.
4. INFORMAZIONI CLINICHE
4.1 Indicazioni terapeutiche
Trattamento delle vampate di calore nella sindrome menopausale.
4.2 Posologia e modo di somministrazione
Una capsula al giorno per un ciclo di 20 giorni, eventualmente ripetibile dopo una sospensione di 7-10
giorni, sotto il diretto controllo del Medico curante. La durata del trattamento deve essere limitata a 3 mesi.
Il rapporto beneficio/rischio deve essere regolarmente rivalutato prima di iniziare un nuovo ciclo.
4.3 Controindicazioni
Ipersensibilità al principio attivo o ad uno qualsiasi degli eccipienti.
Pazienti con tumori prolattino-dipendenti quali prolattinomi ipofisari e cancro mammario.
AGRADIL è controindicato inoltre nelle galattorree, nella mastopatia fibrocistica, nelle displasie mammarie, nelle neoplasie mammarie in atto o sospette.
Pazienti con feocromocitoma, accertato o presunto.
L’impiego con AGRADIL é sconsigliato in pazienti con porfiria acuta in quanto la veralipride è risultata porfirogenica in studi in vitro e nell'animale da esperimento.
Associazione con levodopa e agonisti dopaminergici (vedere sez. 4.5).
Associazione con neurolettici antipsicotici e neurolettici antiemetici (vedere sezione 4.5).
4.4 Speciali avvertenze e precauzioni per l'uso Veralipride è un neurolettico.
Veralipride può indurre discinesia acuta e sintomatologia extrapiramidale che richiedono di sospendere definitivamente il trattamento.
4.1 Indicazioni terapeutiche
Trattamento delle vampate di calore nella sindrome menopausale.
4.2 Posologia e modo di somministrazione
Una capsula al giorno per un ciclo di 20 giorni, eventualmente ripetibile dopo una sospensione di 7-10
giorni, sotto il diretto controllo del Medico curante. La durata del trattamento deve essere limitata a 3 mesi.
Il rapporto beneficio/rischio deve essere regolarmente rivalutato prima di iniziare un nuovo ciclo.
4.3 Controindicazioni
Ipersensibilità al principio attivo o ad uno qualsiasi degli eccipienti.
Pazienti con tumori prolattino-dipendenti quali prolattinomi ipofisari e cancro mammario.
AGRADIL è controindicato inoltre nelle galattorree, nella mastopatia fibrocistica, nelle displasie mammarie, nelle neoplasie mammarie in atto o sospette.
Pazienti con feocromocitoma, accertato o presunto.
L’impiego con AGRADIL é sconsigliato in pazienti con porfiria acuta in quanto la veralipride è risultata porfirogenica in studi in vitro e nell'animale da esperimento.
Associazione con levodopa e agonisti dopaminergici (vedere sez. 4.5).
Associazione con neurolettici antipsicotici e neurolettici antiemetici (vedere sezione 4.5).
4.4 Speciali avvertenze e precauzioni per l'uso Veralipride è un neurolettico.
Veralipride può indurre discinesia acuta e sintomatologia extrapiramidale che richiedono di sospendere definitivamente il trattamento.
Veralipride può indurre discinesia tardiva, soprattutto in caso di trattamento prolungato. In tal caso i farmaci antiparkinson anticolinergici sono inefficaci o possono determinare un aggravamento dei sintomi.
Il trattamento non interferisce con l'ipoestrinismo del climaterio e quindi non influenza gli effetti da carenza estrogenica (distrofie della mucosa genitale e osteoporosi).
La somministrazione di veralipride è stata associata ad un marcato innalzamento del livello di prolattina:
vengono pertanto raccomandati controlli senologici periodici.
In studi clinici randomizzati versus placebo condotti in una popolazione di pazienti con demenza trattati con alcuni antipsicotici atipici è stato osservato un aumento di circa tre volte del rischio di eventi cerebrovascolari. Il meccanismo di tale aumento del rischio non è noto. Non può essere escluso un aumento del rischio per altri antipsicotici o in altre popolazioni di pazienti. Agradil deve essere usato con cautela in pazienti con fattori di rischio per stroke.
A causa del lattosio presente nella formulazione i soggetti con rare forme ereditarie di intolleranza al galattosio, deficit di lattasi o malassorbimento di glucosio/galattosio non devono assumere questo medicinale.
4.5 Interazioni con altri medicinali ed altre forme di interazione
Associazioni controindicate
Associazioni controindicate
• Levodopa e agonisti dopaminergici: antagonismo reciproco degli effetti tra agonisti della dopamina e neurolettici.
• Neurolettici antipsicotici
• Neurolettici antiemetici
Aumento degli effetti indesiderati neurologici e psicologici.
Associazioni non raccomandate
• È norma prudenziale evitare l'associazione con farmaci che inducono iperprolattinemia.
• Alcol: l’alcol potenzia gli effetti sedativi di veralipride. Bevande alcoliche e farmaci contenenti alcol non sono raccomandati.
Associazioni da considerare con attenzione
• Farmaci depressori del SNC, quali derivati della morfina, antistaminici H1 sedanti, barbiturici,
benzodiazepine, sedativi antidepressivi e ansiolitici, clonidina e derivati: aumento dell’effetto sedativo della veralipride.
benzodiazepine, sedativi antidepressivi e ansiolitici, clonidina e derivati: aumento dell’effetto sedativo della veralipride.
4.6 Gravidanza e allattamento
Controindicato: l'uso di AGRADIL durante la gravidanza e l'allattamento non è comunque pertinente in quanto tale prodotto trova la sua indicazione terapeutica nel trattamento dei disturbi della sindrome menopausale.
Controindicato: l'uso di AGRADIL durante la gravidanza e l'allattamento non è comunque pertinente in quanto tale prodotto trova la sua indicazione terapeutica nel trattamento dei disturbi della sindrome menopausale.
4.7 Effetti sulla capacità di guidare veicoli e sull’uso di macchinari
Poiché il farmaco può indurre sedazione e sonnolenza, i pazienti sotto trattamento devono essere avvertiti affinché evitino di condurre autoveicoli e di attendere ad operazioni richiedenti integrità del grado di vigilanza, per la loro possibile pericolosità.
Poiché il farmaco può indurre sedazione e sonnolenza, i pazienti sotto trattamento devono essere avvertiti affinché evitino di condurre autoveicoli e di attendere ad operazioni richiedenti integrità del grado di vigilanza, per la loro possibile pericolosità.
4.8 Effetti indesiderati
• Incremento del peso, sonnolenza.
• Iperprolattinemia e disordini correlati: galattorrea, amenorrea, ingrossamento/dolore del seno e disturbi dell’orgasmo.
• Veralipride può indurre galattorrea soprattutto nelle pazienti in cui sia ancora presente una secrezione endogena di estradiolo. Per tale motivo, veralipride non è indicata durante la premenopausa ed è necessario un controllo particolare in caso di precedenti neoplasie mammarie.
• Sintomi extrapiramidali precoci e disturbi correlati quali:
- parkinsonismo e sintomi correlati: tremore, rigidità, ipocinesia, ipertonia, ptialismo;
- discinesia precoce e distonia (torcicollo spasmodico, crisi oculogire, trisma);
- akatisia.
- parkinsonismo e sintomi correlati: tremore, rigidità, ipocinesia, ipertonia, ptialismo;
- discinesia precoce e distonia (torcicollo spasmodico, crisi oculogire, trisma);
- akatisia.
Questi sintomi sono in genere reversibili dopo somministrazione di farmaci antiparkinson anticolinergici; si raccomanda tuttavia di interrompere definitivamente il trattamento con veralipride (vedi sez.4.4).
• Sono stati riportati casi molto rari, generalmente dopo somministrazione a lungo termine, di
discinesia tardiva, caratterizzata da movimenti ritmici, involontari, soprattutto della lingua e/o della faccia (vedere sez. 4.4).
In tal caso i farmaci antiparkinson anticolinergici sono inefficaci o possono determinare un
aggravamento dei sintomi.
• In casi molto rari sono stati osservati sintomi da astinenza con o senza ansia, o sindromi depressive con o senza ansia all’interruzione del trattamento o nell’intervallo tra due cicli. In tale evenienza si consiglia di riprendere la terapia che deve essere ridotta progressivamente fino a definitiva sospensione.
Effetti di classe:
• Sindrome Neurolettica Maligna
• Allungamento dell’intervallo Q-T
Tali effetti, riportati in casi molto rari con altri neurolettici, non sono stati osservati durante il trattamento con veralipride.
Tali effetti, riportati in casi molto rari con altri neurolettici, non sono stati osservati durante il trattamento con veralipride.
4.9 Sovradosaggio
L’esperienza in caso di sovradosaggio di veralipride è limitata. E’ stata riferita una esacerbazione degli effetti farmacologici della veralipride, in particolare episodi neuro-muscolari discinetici locali o generalizzati.
In alcuni casi sindrome parkinsoniana gravissima e coma.
Non esiste un antidoto specifico di veralipride. Il trattamento è unicamente sintomatico. Devono venire istituite appropriate misure di supporto, stretto controllo delle funzioni vitali e monitoraggio cardiaco fino a quando il paziente non si ristabilisce.
In caso di sintomi extrapiramidali gravi, devono venire somministrati farmaci anticolinergici.
In alcuni casi sindrome parkinsoniana gravissima e coma.
Non esiste un antidoto specifico di veralipride. Il trattamento è unicamente sintomatico. Devono venire istituite appropriate misure di supporto, stretto controllo delle funzioni vitali e monitoraggio cardiaco fino a quando il paziente non si ristabilisce.
In caso di sintomi extrapiramidali gravi, devono venire somministrati farmaci anticolinergici.
5. PROPRIETÀ FARMACOLOGICHE
5.1 Proprietà farmacodinamiche
Categoria farmacoterapeutica: Psicolettici antipsicotici: benzamidi - Codice ATC: N05AL06
La veralipride, appartenente al gruppo delle orto-veratramidi, esercita un antagonismo di tipo selettivo a livello dei recettori D2 ipotalamici ed esplica, a basse dosi, una potente azione antidopaminergica a livello dei centri ipotalamici della termoregolazione o grazie al blocco selettivo degli autorecettori dopaminergici un’efficace azione antidepressiva.
La veralipride, appartenente al gruppo delle orto-veratramidi, esercita un antagonismo di tipo selettivo a livello dei recettori D2 ipotalamici ed esplica, a basse dosi, una potente azione antidopaminergica a livello dei centri ipotalamici della termoregolazione o grazie al blocco selettivo degli autorecettori dopaminergici un’efficace azione antidepressiva.
La sua attività farmacobiologica si esplica:
- a livello delle gonadi femminili, con azione antigonadotropa;
- a livello del SNC, con azione antidopaminergica;
- a livello dell'ipofisi, con azione antigonadotropa (inibizione della formazione delle cellule "da
castrazione", diminuzione del 50% dell'ipertrofia dell'ovaio residuo nella emicastrazione).
La veralipride è totalmente sprovvista di azione estrogena sperimentale, esplica una sensibile azione prolattinogena e non modifica le cellule somatotrope.
La veralipride non influenza significativamente il livello ematico di FSH, LH, estrone, estradiolo.
5.2 Proprietà farmacocinetiche
La veralipride è bene assorbita per via orale; la biodisponibilità delle capsule è in media dell'80%.
La concentrazione plasmatica massima viene ottenuta circa 2,5 ore dopo la somministrazione.
La sua metabolizzazione è scarsa, come documenta la formazione di metaboliti in piccolissima quantità; la sua eliminazione avviene attraverso le urine e le feci.
L'emivita di eliminazione è di 4 ore; la clearance totale della veralipride è pari a 775 ml/minuto, essendo la clearance renale in media di 250 ml/minuto.
La concentrazione plasmatica massima viene ottenuta circa 2,5 ore dopo la somministrazione.
La sua metabolizzazione è scarsa, come documenta la formazione di metaboliti in piccolissima quantità; la sua eliminazione avviene attraverso le urine e le feci.
L'emivita di eliminazione è di 4 ore; la clearance totale della veralipride è pari a 775 ml/minuto, essendo la clearance renale in media di 250 ml/minuto.
5.3 Dati preclinici di sicurezza
Gli studi di tossicità acuta condotti nel ratto e nel topo, con somministrazione per via orale e
intraperitoneale, hanno evidenziato valori della DL50 elevati per entrambe le specie (DL50 nel topo: per os= 3300 mg/Kg, i.p. = 375 mg/Kg, DL50 nel ratto: per os = 5200 mg/Kg, i.p. = 520 mg/Kg).
intraperitoneale, hanno evidenziato valori della DL50 elevati per entrambe le specie (DL50 nel topo: per os= 3300 mg/Kg, i.p. = 375 mg/Kg, DL50 nel ratto: per os = 5200 mg/Kg, i.p. = 520 mg/Kg).
Gli studi di tossicità a medio e lungo termine, condotti sia nel ratto (fino a dosi di 1250 mg/kg/die e 500-800 mg/kg/die rispettivamente) che nel cane (già a dosi di 180-200 mg/kg), hanno evidenziato la comparsa di fenomeni di intossicazione a dosi >200 mg/kg/die nel cane. Nel ratto tali effetti si sono evidenziati a dosi almeno 5 volte maggiori.
Prove di teratogenicità e mutagenicità, condotte da ricercatori diversi nel topo, nel ratto e nel coniglio, hanno dimostrato l'assenza di interferenze negative. Inoltre non sono stati evidenziati elementi che facciano ritenere che il farmaco possieda potenziale carcinogenetico nella specie umana, alle posologie utilizzate in terapia.
6. INFORMAZIONI FARMACEUTICHE
6.1 Elenco degli eccipienti
lattosio, amido di patata, cellulosa microcristallina, sodio laurilsolfato, metilcellulosa 1500 Cps, talco, magnesio stearato.
Composizione della capsula: gelatina, titanio diossido, indigotina, giallo di chinolina.
Composizione della capsula: gelatina, titanio diossido, indigotina, giallo di chinolina.
6.2 Incompatibilità
Nessuna nota.
Nessuna nota.
6.3 Periodo di validità
5 anni a confezionamento integro e correttamente conservato.
6.4 Speciali precauzioni per la conservazione
Nessuna.
6.5 Natura e contenuto del contenitore
20 capsule in blister PVC/alluminio.
6.6 Istruzioni per l'uso e la manipolazione
Nessuna istruzione particolare
5 anni a confezionamento integro e correttamente conservato.
6.4 Speciali precauzioni per la conservazione
Nessuna.
6.5 Natura e contenuto del contenitore
20 capsule in blister PVC/alluminio.
6.6 Istruzioni per l'uso e la manipolazione
Nessuna istruzione particolare
7. TITOLARE DELL' AUTORIZZAZIONE ALL’ IMMISSIONE IN COMMERCIO
SANOFI-SYNTHELABO S.p.A., Via Messina, 38 - Milano
8. NUMERO DELL' AUTORIZZAZIONE ALL’IMMISSIONE IN COMMERCIO
AIC n.: 024751012
SANOFI-SYNTHELABO S.p.A., Via Messina, 38 - Milano
8. NUMERO DELL' AUTORIZZAZIONE ALL’IMMISSIONE IN COMMERCIO
AIC n.: 024751012
9. DATA DI PRIMA AUTORIZZAZIONE/RINNOVO DELL’AUTORIZZAZIONE
Rinnovo: 01.06.2005
Rinnovo: 01.06.2005
10. DATA DI REVISIONE DEL TESTO: settembre ’06
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PORQUÉ NO SE INDICA LO MISMO EN LOS PROSPECTOS DE 2006 DE FRANCIA E ITALIA ????
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