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miércoles, 29 de septiembre de 2010
AGREAL/VERALIPRIDE FRANCE: cuántas mujeres tienen sus vidas destruidas por el Agreal!
Cuántas mujeres tienen sus vidas destruidas por el Agreal!
Yo soy una víctima del Agreal de drogas para los sofocos
y el número de mujeres en Francia, pedir reparación a Sanofi en Francia con la Asociación de Víctimas de las drogas AAAVAM este fármaco fue retirado del mercado en Francia en 2007.
Agreal era un neuroléptico ocultos dio graves enfermedades neurológicas como parkinsonismo, discinesia, el Parkinson, la depresión con intentos de suicidio, dolores musculares, aumento de peso, hipotermia, sudoración, etc ...
Dos años después de dejar la droga, la retirada era horrible también (como un drogadicto que necesita droga) Tengo la enfermedad de Parkinson.
Hice un escáner cerebral solicitada por un neurólogo y hay una falta de dopamina, lo que desde el año 2003.
Admitir que mi estado se debe a Agreal es otra cosa!
nadie se moja!
nadie restaurar mi salud antes de Agreal ya que no hay cura milagrosa para librarnos.
Desde la edad de 48 años, mi vida es maldita.
Creo que la mejor dicho cientos de miles de mujeres como yo han sufrido y siguen sufriendo y lo peor es que todavía se vende en algunos países del mundo UNA VERGÜENZA!
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Combien de femmes ont leur vie détruite avec AGREAL !!!
Je suis une victime du médicament AGREAL pour les bouffées de chaleur
et combien de femmes en france ,en espagne demandent réparation aupres des laboratoires SANOFI avec en france l'association d'aide aux victimes des médicaments AAAVAM
Ce médicament a été retiré du marché en france en 2007
Agréal était un neuroleptique caché qui a donné des maladies neurologiques graves comme le syndrôme parkinsonien ,dyskinésies ,parkinson ,dépressions avec tentatives de suicide,douleurs musculaires,prise de poids,hypothermie ,sudation etc ...
Apres 2 ans d'arrêt de ce médicament ou le sevrage a été horrible aussi (comme une droguée en manque )moi j'ai la maladie de parkinson j'ai fait une scintigraphie cérébrale demandée par le neurologue et il y a un manque de dopamine ,ce qui donne mon déséquilibre que j'ai depuis 2003
mais pour faire admettre que mon état est dû a agréal c'est autre chose!
personne ne se mouille ! personne ne me redonnera ma santé d'avant agréal puisqu'il n'y a pas de reméde miracle pour nous soulager depuis l'age de 48 ans ma vie est fichue et ne pourra s'arranger je pense à ces centaines que dis-je millier de femmes comme moi ont souffert et qui souffrent encore
le pire c'est qu'il est encore en vente dans certains pays du monde UNE HONTE!
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CIERTO COMPAÑERAS LUCHADORAS DEL AGREAL DE FRANCIA.
UNA "AUTENTICA" VERGÜENZA QUE AÚN SE SIGA VENDIENDO EN MEXICO EL ACLIMAFEL/VERALIPRIDA.
AGREAL/VERALIPRIDE FRANCE "SANOFI AVENTIS, NI EN LAS MEMORIAS" INDICAN VERDAD ALGUNA- 300 dossiers juridiques
BEAUVAIS el infierno de una víctima del Agreal.
Virieux Chantal y su terrible experiencia después de tomar un medicamento. Censé guérir des bouffées de chaleur, l'Agréal, retiré de la vente en 2007, lui cause d'insupportables douleurs. Se supone que cura los sofocos, el Agreal, retirado de la venta en 2007, le causó un dolor insoportable.
La conversación es las manos vacilantes y temblorosas visibles. A los 56 años, Chantal Virieux ya no se reconoce. Esta madre, una vez que alegre y sociable, vive recluida en su departamento en Beauvais, lejos de los ojos de los demás. La culpa es de "las pastillas maldita verde" que me han "envenenado". Chantal Virieux es víctima de Agreal, un fármaco que se comercializaba desde 1979 hasta 2007, contra los sofocos durante la menopausia.
En 2006, su médico de cabecera le recetó este neurolépticos. La decisión tendrá una duración de dieciséis meses. "No tenía ni sofocos, fue muy eficaz", dijo, amarga, Chantal Virieux. Pero muy rápidamente, los efectos adversos se hacen sentir, especialmente durante la interrupción entre las tomas: "Yo tenía ataques de llanto en mi trabajo pero mi doctor me tranquilizó, el diagnóstico de ansiedad simple."
"Como un chip de computadora que me manda"
Esta depresión se acompaña de pérdida de la memoria y el equilibrio, temblores, vómitos, y la discinesia (dificultad de movimiento) se presentan. "Mi médico no quería poner estos síntomas a causa de la droga." No fue sino hasta octubre de 2007 que la Agencia Europea de Medicamentos finalmente se retirará del mercado Agreal. Para Chantal Virieux, ya es demasiado tarde. "A veces me siento como si tuviera un chip que me controla, no soy dueña de mis movimientos, o de mis emociones." Entre sus colegas, en la oficia va a pagar un "carácter depresivo" a menudo ausente en su trabajo. Desde el 5 de febrero fue detenida. "Vis-à-vis mi compañía, yo representaba un peligro para mí y para los demás."
Separada de todos los sectores sociales, Chantal Virieux pruebas tres veces para poner fin a sus días. "Estoy cansada de sufrir y no agüanto mas. Sus dos hijos, que lo apoyan, la lucha a aceptar la degradación física y moral de su madre, que sabía tan fuerte.
En testimonio de hoy, Chantal Virieux piensa en todas esas mujeres que sufren en silencio: "tienen derecho a saber, algunos médicos siguen ocultando la verdad a sus Familiares" Al igual que otras 300 mujeres en Francia, presentó una queja ante Asociación de Víctimas de accidentes de drogas (AAVAM).
300 casos legales serán recogidos y tratados en una queja conjunta presentada por un mes ante el tribunal de Nanterre para obtener una indemnización de Sanofi-Grünenthal, fabricación y distribución del producto.
Chantal Virieux, de 56 años ha presentado una demanda contra Sanofi-Grünenthal. Ella vivió el "infierno",es una convesación conmovedora.
Int. : www.aaavam.eu o 01 41 10 87 00.
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BEAUVAIS L'enfer d'une victime de l'Agréal
Chantal Virieux raconte son calvaire suite à la prise d'un médicament. Censé guérir des bouffées de chaleur, l'Agréal, retiré de la vente en 2007, lui cause d'insupportables douleurs.
L'élocution est hésitante et les tremblements des mains perceptibles. À 56 ans, Chantal Virieux ne se reconnaît plus. Cette mère de famille, autrefois battante et sociable, vit aujourd'hui recluse dans son appartement de Beauvais, à l'abri du regard des autres. La faute à « ces maudites pilules vertes» qui l'ont «empoisonnée ». Chantal Virieux est une victime de l'Agréal, un médicament commercialisé de 1979 à 2007, contre les bouffées de chaleur lors de la ménopause.
C'est en 2006 que son médecin généraliste lui prescrit ce neuroleptique. La prise va durer seize mois . « Je n'avais plus de bouffées de chaleur, cela a été très efficace », commente, amère, Chantal Virieux. Mais très vite, les effets secondaires se font ressentir, notamment lors de l'interruption entre deux prises : « J'avais des crises de larmes à mon travail mais mon médecin m'a rassurée, diagnostiquant une simple anxiété. »
« Comme une puce qui me commande »
Cette dépression s'accompagne de pertes de mémoire et d'équilibre, de tremblements, de vomissements et d'une dyskinésie (difficulté à faire des mouvements) faciale. « Mon médecin ne voulait pas mettre ces symptômes sur le compte du médicament ». Ce n'est qu'en octobre 2007 que l'agence européenne du médicament finira par retirer l'Agréal du marché. Pour Chantal Virieux, il est déjà trop tard. « Parfois j'ai l'impression d'avoir une puce qui me commande, je ne suis plus maître de mes mouvements, ni de mes émotions. » Auprès de ses collègues, l'agent de paie passe pour une « dépressive de nature », souvent absente à son travail. Depuis le 5 février, elle est arrêtée. « Vis-à-vis de ma société, je représentais un danger, pour moi-même et pour autrui. »
Coupée de toute vie sociale, Chantal Virieux tentera à trois reprises de mettre fin à ses jours. « J'en ai marre de souffrir et de ne pas être comprise. » Ses deux garçons, qui la soutiennent, ont du mal à accepter la dégradation physique et morale de leur mère, qu'ils ont connue si forte.
En témoignant aujourd'hui, Chantal Virieux pense à toutes ces femmes qui souffrent en silence : « Les familles ont le droit de savoir, certains médecins continuent de cacher la vérité. » 300 dossiers juridiques vont être réunis et transformés en une plainte collective déposée d'ici à un mois devant le tribunal de Nanterre, pour obtenir des indemnisations des laboratoires Sanofi-Grünenthal, fabriquant et diffusant ce produit.
Chantal Virieux, 56 ans a déposé plainte contre Sanofi-Grunenthal. Elle a vécu «l'enfer», rapporte t'elle dans un poignant témoignage.
L'association d'aide aux victimes des accidents des médicaments (l'AAAVAM), suit les dossiers de nombreuses femmes victimes des effets secondaires désastreux prêtés au médicament.
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Y NO 60 DENUNCIAS "LABORATORIOS SANOFI AVENTIS"
martes, 28 de septiembre de 2010
La consejera canaria de Sanidad niega la retirada del fármaco contra la diabetes Avandia
La consejera canaria de Sanidad niega la retirada del fármaco contra la diabetes Avandia
Recomienda no alertar a la población
LAS PALMAS DE GRAN CANARIA, 27 Sep. (EUROPA PRESS) -
La consejera de Sanidad del Gobierno de Canarias, Mercedes Roldós, rechazó este lunes que la Agencia Europea del Medicamento (EMEA) haya ordenado la retirada del mercado del fármaco contra la diabetes Avandia y afirmó que este medicamento "no es el que más consumen" los enfermos en las islas.
El medicamento Avandia, fabricado por el laboratorio británico GlaxoSmithKline (GSK), ayuda a los diabéticos a controlar sus niveles de azúcar en la sangre, pero, según sus críticos, contribuye a un aumento de los ataques cardíacos en algunas personas.
Roldós desmintió que dicho fármaco sea "el que más consumen los diabéticos tipo 2". "Hay más de 20 fármacos a parte de la insulina para el tratamiento de la diabetes y ése no es el que más se consume", añadió.
La consejera recordó que el Ejecutivo regional no tiene competencia para retirar un fármaco sino que es la Agencia Española del Medicamento. "A día de hoy sólo tenemos la alerta de la Agencia Europea en el sentido de que en breve parece que van a retirar ese fármaco, pero tampoco creo que debamos alertar a la población", apostilló.
"Cuando la Agencia Española del Medicamento dé la orden de retirada, eso se retira de manera inmediata en todas las farmacias y en todos los hospitales", añadió, al tiempo que incidió en que "no hay orden de retirada" por parte de la Agencia Europea del Medicamento ni de la Agencia Española.
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USTED SRA. ROLDÓS CONSEJERA DE SANIDAD DE LA COMUNIDAD CANARIA, SABE INGLÉS:
¿QUÉ INDICA LO SIGUIENTE?.
Meeting highlights from the Committee for Medicinal Products for Human Use (CHMP), 20-23 September 2010.
Suspension of rosiglitazone-containing medicines recommended
Finalising a review of the rosiglitazone-containing anti-diabetes medicines Avandia (rosiglitazone), Avaglim (rosiglitazone / glimepiride), and Avandamet (rosiglitazone / metformin), the Committee recommended the suspension of their marketing authorisations.
These medicines will stop being available in Europe within the next few months. Patients who are currently taking these medicines should make an appointment with their doctor to discuss suitable alternative treatments. Patients are advised not to stop their medication without speaking to their doctor.
The review was initiated following the availability of new studies questioning the cardiovascular safety of the medicine.
Denuncia contra Sanidad por la píldora del día después
Los defensores de la objeción acusan al ministerio de facilitar «publicidad engañosa» en los folletos
Denuncia contra Sanidad por la píldora del día después
La píldora del día después vuelve a estar en entredicho. Precisamente hoy, cuando se cumple un año de la dispensación sin receta de la pastilla en las farmacias, la Asociación Nacional para la Defensa del Derecho a la Objeción de Conciencia del Personal Biosanitario (Andoc) presentará una denuncia en las consejerías de Sanidad de Madrid, Andalucía, Valencia y Castilla y León contra el Ministerio de Sanidad.
28 Septiembre 10 - Madrid - Rocío Ruiz La asociación acusa al Ministerio de facilitar «información engañosa» a las usuarias en el folleto oficial que se adjunta a la píldora, en el momento de la compra, sobre los efectos que puede acarrear para la salud. «La información es incompleta y engañosa», insiste Juan Molina Valdés, portavoz de la asociación constituida por farmacéuticos, médicos, enfermeros y biólogos, además de profesionales de la sanidad.
Riesgo de tromboembolismo
La asociación ha dado la voz de alerta después de conocer un informe de la Agencia Española del Medicamento, posterior a la medida ministerial, que asegura que «no puede descartarse el riesgo de tromboembolismo venoso en mujeres que hicieran un uso no recomendado (repetido y frecuente) de los preparados de anticoncepción de urgencia».
Además, mientras Sanidad asegura que «es un medicamento seguro para la salud, por lo que no precisa de ningún reconocimiento ni análisis previo a su toma», la documentación técnica de la Agencia del Medicamento indica que «está desaconsejado en mujeres que padezcan enfermedades del intestino delgado, problemas graves de hígado, con alto riesgo de embarazo ectópico, incluidas aquellas con historial médico de salpingitis o embarazo ectópico previo». Los denunciantes consideran que «éstas ya son contraindicaciones evidentes que desaconsejarían su administración sin control médico y hay obligación de explicárselo a las usuarias».
Y otro aspecto en el que reparan: «el Ministerio asevera con rotundidad que la píldora del día después no es abortiva; pero esto tampoco es congruente con la información técnica que expresa que el medicamento “puede producir cambios endometriales que dificultan la implantación” de la vida humana ya concebida».
«Incumplimiento»
Los denunciantes concluyen que «la información reflejada en los folletos, además de vulnerar el derecho de los usuarios a una información veraz y rigurosa respecto a su salud, incumple la normativa española y comunitaria que regula la publicidad de los medicamentos de uso humano».
La denuncia ante las consejerías de Sanidad no es más que el primer paso de otras iniciativas posteriores, que pasan por la denuncia por publicidad engañosa en los juzgados y en Consumo, según aseguró el portavoz de la asociación de objetores, Juan Molina.
«Queremos que se modifique la información que se facilita en el folleto que se reparte en las farmacias y se alerte de los riesgos que origina para las mujeres en su salud, ya que su uso puede tener consecuencias gravísimas», añadió. Lo peor, a su juicio, es que «la dispensación libre de la píldora se debe a una cuestión ideológica, no científica», remachó.
Mientras, la píldora del día después se ha convertido en el fármaco «estrella» en las farmacias a nivel de ventas. Desde octubre de 2009 hasta agosto pasado se han vendido 638.000 unidades de Norlevo y Postinor, las dos presentaciones del fármaco en España, lo que representa un 158 por ciento más con respecto al año anterior. «El consumo se ha multiplicado por 2,6 en las farmacias, pero no sabemos cuántas píldoras se suministraban antes en los centros de salud o en los centros de atención a la mujer», explica Miguel Martínez, responsable de línea de negocio de la consultora IMS Health, líder en el sector sanitario.
http://www.larazon.es/noticia/3073-denuncia-contra-sanidad-por-la-pildora-del-dia-despues
AGREAL/VERALIPRIDA EN ESPAÑA: MINISTERIO DE SANIDAD, INDICA EN LAS SENTENCIA QUE NO SON ADMITIDAS Y SIN LA NO PRESENCIA DE LAS......
MINISTERIO DE SANIDAD Y POLITICA SOCIA, INDICA EN LAS SENTENCIA QUE NO SON ADMITIDAS Y SIN LA NO PRESENCIA DE LAS LUCHADORAS.
ESAS QUE MANDAN A LA "COMISIÓN PERMATENTE DE ESTADO" (CONSEJO DE ESTADO) Y ENTRE LO QUE EXPLICAN LOS DOS MÁXIMOS IMPLICADOS "MINISTERIO DE SANIDAD Y POLITICA SOCIAL-LABORATORIOS SANOFI AVENTIS" Y SIN LA PRESENCIA DE LA "LUCHADORA" A TODAS POR LA VÍA CONTENCIOSO ADMINISTRATIVO "HASTA AHORA" TODAS LAS HAN DESESTIMADO.
HE INDICAN "QUE DESDE 1992 SE HAN VENTIDO 3.022.139 DE ENVASES DEL AGREAL" (SE ENTIENDE EN TODA ESPAÑA).
PUES LEAN Y:
"SOLO DE UNA COMUNIDAD AUTÓNOMA":
El médico ha sufrido una pérdida en su libertad de prescripción, al tener que adaptarse a los medicamentos cubiertos por la póliza del paciente o a tener que acceder a la sustitución. Un 70% de los médicos trabajan para organizaciones de managed care (creemos que quiere decir: niveles de atención médica administrada) y se ven presionados para admitir las sustituciones, lo que origina un menor protagonismo prescriptor.
El paciente ha perdido la confidencialidad de sus datos clínicos y ha visto como el acceso a los medicamentos está siendo cada vez más restringido, sin embargo, reciben una atención farmacéutica más satisfactoria.
Parámetros Nacionales
El grupo anatómico-terapéutico que en el año 1995 tuvo mayor venta, en relación al número de envases, ha sido el N (Sistema Nervioso Central), con un total de 108,2 millones de unidades, lo que ha supuesto el 20,46% del total de las especialidades farmacéuticas facturadas a través de recetas oficiales al Sistema Nacional de Salud.
El segundo lugar lo ocupa el grupo C (Aparato Cardiovascular), que representa el 16,97% del total de la facturación de especialidades, con 89,8 millones de envases.
En el tercer puesto se sitúa el grupo A (Aparato Digestivo y Metabolismo), con un volumen de ventas sobre el total del 14,50%. El número de envases de estos 3 grupos N, C y A, suponen más del 50% del total de las especialidades
Las facturas de Farmacia, en el año 1995:
El grupo N (Sistema Nervioso Central), que ocupaba el primer puesto de consumo en relación al número de envases facturados, pasa a ocupar el cuarto lugar en orden al importe, con un 10,88% sobre el total.
Asimismo, el grupo H (Preparados Hormonales Sistémicos), excluidas hormonas sexuales, aumenta, desde 1986 a 1995, su consumo en importe de una manera notable.
ES EL GRUPO AL QUE PERTENECIÓ AQUI EN ESPAÑA "EL AGREAL"
SOLO EN UNA "COMUNIDADE AUTÓNOMICA".
Y LA CANTIDAD DE ESA CC.AA. "NI SE IMAGINAN LA DE MILLONES DE ENVASES VENDIDOS".
NO LO INDICAMOS " PARA QUE NO SEPAN A QUÉ CC.AA. PERTENECE".
NO INDICAN "NI UNA SOLA VERDAD" SOBRE EL AGREAL EN ESPAÑA.
LABORATORIOS SANOFI AVENTIS ¿QUE INDICARON EN UNA ENTRAVISTA, EN EL PRIMER JUICIO SOBRE EL AGREAL?.
ERA UN MEDICAMENTO "POCO UTILIZADO".
La FDA añade advertencia hepática a la etiqueta de leflunomida (AVARA)
La FDA añade advertencia hepática a la etiqueta de leflunomida.
La U.S. Food and Drug Administration (FDA) requerirá que la etiqueta del medicamento para artritis reumatoide leflunomida (Arava) tenga una advertencia añadida de daño hepático severo. La etiqueta ya advierte sobre el uso del medicamento en mujeres embarazadas y en edad fértil.
La nueva advertencia llega después de que la FDA recibiera 49 reportes de daño hepático severo, incluyendo 14 instancias de falla hepática falta, de 2002 a 2009. El riesgo de daño hepático fue mayor entre pacientes que utilizaban otros medicamentos asociados con daño hepático y en pacientes con alguna hepatopatía.
Los médicos deben monitorizar las enzimas hepáticas por lo menos una vez al mes durante los primeros tres meses de haber iniciado el medicamento. Después de entonces, se deben monitorizar las enzimas cada tres meses. El tratamiento debe ser detenido si las enzimas hepáticas se elevan dos veces el límite normal.
lunes, 27 de septiembre de 2010
AGREAL/VERALIPRIDA "UN MES DESPUES DE LA ORDEN DE RETIRADA" Trucos farmacéuticos
POLÉMICA
Trucos farmacéuticos
ISABEL PERANCHO
SUPLEMENTO "EL MUNDO 18 DE JUNIO DE 2005"
Juega la industria farmacéutica con cartas marcadas? En los últimos tiempos han arreciado las críticas acerca de la excesiva influencia que ejerce sobre el proceso de investigación, autorización y comercialización de los medicamentos. Se le acusa de maquillar los resultados de los estudios a su favor, de diseñarlos meticulosamente para obtener los resultados deseados inflando los positivos y restando importancia, cuando no ocultando, los negativos; de utilizar a los investigadores de meras comparsas para reclutar pacientes, negándoles el acceso a los datos. Las revistas que diseminan la 'ciencia' que emana de estos ensayos se reconocen incapaces de detectar sus 'trampas'. Las propias agencias que autorizan los fármacos admiten que supervisar la exactitud de los datos que les brindan los laboratorios es una tarea inasumible. «No se puede evitar el fraude», reconoce un ex directivo de la Agencia Española del Medicamento. Pero muchos opinan que ha llegado el momento de cambiar las reglas del juego.
La tarea no es sencilla. Los expertos consultados por SALUD reconocen que el proceso de investigación, autorización y venta de los fármacos «se ha viciado de tal manera» que sería imposible acometer cambios drásticos «sin hacer caer todo el castillo de naipes». Se refieren al alto nivel de dependencia que tienen de la industria todas las instituciones y colectivos que están implicados en el desarrollo de los medicamentos: centros investigadores, científicos, agencias reguladoras, sociedades científicas, revistas médicas, galenos...Todos ellos han acabado de alguna manera y, en mayor o menor medida, aceptando cierto grado de subordinación a las compañías, en buena parte gracias a que su generosidad económica soporta muchas de sus estructuras.
«El resultado es un entramado en el que todas las partes funcionan en perfecta sincronía, una dinámica que permite a la industria del medicamento mantener el control», advertía un investigador de un laboratorio durante una mesa de debate en la que se discutió cómo restaurar la objetividad de la investigación biomédica y cuyo contenido se publicó hace unas semanas en la revista 'on line' 'Public Library of Science' ('PLoS'). «La pureza es imposible. Sin la industria farmacéutica, los médicos no irían nunca más a un congreso científico», ejemplifica Josep María Piqué, jefe del Servicio de Gastroenterología del Hospital Clínic de Barcelona. Este experto opina que, a pesar del alto grado de intervencionismo, «el fraude no es grande» y que los pacientes «no corren riesgos», si bien «es necesario ordenar» la situación.
EL PODER.
La realidad es la siguiente: más del 75% de la investigación se hace gracias al patrocinio de los laboratorios. De los 584 ensayos autorizados el pasado año por la Agencia Española del Medicamento (AEM), el 81% fue promovido por la industria. Muchos médicos jamás publicarían estudios (una tarea que mejora su prestigio profesional y repercute en sus ingresos) si no se avinieran a trabajar con ella. «La investigación independiente apenas existe. No hay fondos públicos y ningún gobierno tiene la capacidad de asumir el riesgo de desarrollar medicamentos. El 95% de las moléculas en estudio no llega al mercado. Ésto sólo lo pueden soportar grandes compañías», explica Miguel Martín, presidente del Grupo Español de Investigación en Cáncer de Mama (GEICAM).
El precio por investigar con la industria es, en muchos casos, aceptar sus duras condiciones: no intervenir en el diseño de los ensayos, no manejar la base de datos completa, no escribir los artículos (lo hacen expertos contratados por el laboratorio) y no poder negarse a que se publiquen, aun cuando se esté en desacuerdo con los resultados.
Un reciente estudio revelaba grandes diferencias en el nivel de exigencia de las propias instituciones académicas (universidades y hospitales) en los que se llevan a cabo estos estudios a la hora de establecer acuerdos con las compañías. El análisis concluía que muchas no ponen el celo suficiente para evitar los abusos y alertaba del riesgo de que las empresas dirigieran sus miras hacia aquellas con normas más laxas.
La controversia acerca de los riesgos que puede acarrear esta sumisión se reavivó en 2004 tras la retirada voluntaria del mercado del moderno antiinflamatorio Vioxx (rofecoxib), al asociarse su uso prolongado con un mayor riesgo cardiovascular. Este escándalo coincidió en el tiempo con las acusaciones de ocultación de datos sobre los problemas de seguridad de un popular antidepresivo (paroxetina) en la población adolescente. La tormenta estalló cuando ambos productos llevaban varios años en el mercado.
«No estamos capacitados para controlar el 100% de la verdad y ésta a veces sale tarde», comenta Martín, aunque expresa cierto grado de confianza, «el 90% de los datos que nos da la industria es cierto, pero hay una parte que no se publica y hay que desvelarlo».
¿Ha sido así siempre? ¿Que ha cambiado? Marcia Angell, ex editora de 'The New England Journal of Medicine', una de las revistas médicas con mayor impacto, explica en su libro 'La verdad acerca de las compañías farmacéuticas: cómo nos engañan y qué podemos hacer', como era la situación hace 20 años: «los laboratorios solían mantenerse en segundo plano durante el periodo de ensayo». El problema es que el mercado del medicamento ha cambiado radicalmente. La mayoría de los productos no representa grandes novedades terapéuticas, que por sus aportaciones a la salud se venderían por sí solos. Angell relata que cerca del 80% de los medicamentos que se han lanzado recientemente son variaciones de otros ya existentes. El 68% de los 66 nuevos productos que autorizó la agencia estadounidense que regula el medicamento, la FDA, en 2001 fueron clasificados por este organismo como agentes que no representaban una aportación terapéutica. De los 1.073 aprobados el pasado año por la AEM, menos del 5% correspondía a moléculas completamente novedosas.
Es lo que en el sector se conoce como fármacos 'me too' (yo también). Aunque las compañías prefieren denominarlos 'follow on' (continuaciones) y defienden las ventajas de la «innovación incremental» que constituyen estas nuevas versiones de productos ya existentes, en ocasiones, más caros que sus predecesores. «Las nuevas formulaciones, formas de dosificación o de administración pueden mejorar la seguridad y eficacia o ampliar las indicaciones en el área terapéutica original», se afirma en un informe realizado por una consultoría británica vinculada a la patronal de la industria farmacéutica de Reino Unido y presentado esta semana por su homóloga española, Farmaindustria.
NUEVA SITUACIÓN.
En el mercado conviven numerosos antibióticos, reductores del colesterol o antihipertensivos, por citar sólo algunos ejemplos, con mínimas variaciones en su estructura química, pero cuya venta reporta enormes beneficios a sus fabricantes. Gracias a ellos, muchas compañías están manteniendo su cuenta de resultados y satisfaciendo las expectativas de sus accionistas. «Es menos arriesgado desarrollar un 'me too' que un producto innnovador», opina en su 'best seller' Marcia Angell. En 2002, la industria farmacéutica de EEUU fue el sector productivo con mayor porcentaje de beneficios, cerca del 18% comparado con el 3% de media de las empresas dedicadas a otras actividades.
Actualmente, la mayoría de estos beneficios no revierte en la investigación de nuevos productos, como les gusta decir a los directivos de estas empresas, sino que se encauzan a actividades de promoción. Hasta un 30% de las inversiones se destinan al marketing, mientras sólo entre el 11% y el 18% , es decir, la mitad, va a estudiar nuevos productos. En algunos laboratorios, un tercio de la plantilla pertenece al departamento comercial. ¿Por qué? Para los expertos consultados, las empresas necesitan desplegar esta ingente fuerza de venta para persuadir al médico de las ventajas de sus productos, en ocasiones muy similares a los de la competencia. Si su aportación terapéutica fuera realmente llamativa, no precisarían tanto esfuerzo.
Los canales de promoción son innumerables: anuncios, visitas médicas, separatas con los artículos favorables publicados en las revistas médicas, patrocinio de congresos y foros científicos... El resultado de este desvelo multimillonario es un verdadero monopolio de la información sanitaria, desde la generada en los ensayos, pasando por la que recibe el médico, hasta la dirigida al consumidor. «Inevitablemente dependemos de la industria para informarnos y no podemos esperar nada desde el sector público», se queja Javier González de Dios, vicepresidente de la Asociación Valenciana de Pediatría y autor de un reciente artículo en el que critica los intentos de las farmacéuticas por «exagerar las indicaciones de sus productos» y favorecer su uso en patologías para los que no están indicados. «Tenemos que estar vigilantes para que no las disparen», dice.
EL FUTURO.
La Sociedad Española de Medicina de Familia y Comunitaria (semFYC) trabaja con la Dirección General de Farmacia del Ministerio de Sanidad en la búsqueda de fórmulas para frenar los potenciales efectos nocivos de la presión de la industria sobre la prescripción en los centros de salud. El 80% de la receta depende de los médicos de familia. La idea es crear un sistema de información de medicamentos independiente de los laboratorios. «Pretendemos evaluar si un agente es eficaz, si no produce más efectos adversos, si es eficiente desde el punto de vista económico...», comenta Asensio López, vicepresidente de esta organización. El colectivo discute también con la Administración cómo «poner barreras» a la visita médica. «Su objetivo es cambiar la tendencia de la prescripción. Es una actividad de desarrollo de negocio que se vende como mera información», añade.
Las propuestas e iniciativas para contener el empuje del consorcio farmacéutico se suceden desde los gobiernos, las sociedades científicas, las empresas editoras de revistas médicas, los centros investigadores... De momento, con escaso éxito. Quizá porque peligra el 'castillo de naipes'.
Muchos expertos critican la «omisión» y «dejación» de la ciencia médica desde las administraciones públicas y los gobiernos, especialmente en Europa. Les acusan de delegar en la industria su responsabilidad de formar a los profesionales sanitarios y de investigar ciertos aspectos de los medicamentos. ¿Cómo pedirles después responsabilidades? La mayoría de los gobiernos europeos intenta contrarrestar esta presión mediante políticas de contención del gasto farmacéutico que han acabado por crispar los ánimos de los laboratorios. Éstos prefieren trasladar sus inversiones a otros países más benévolos con su margen de beneficios y que les ofrecen más agilidad a la hora de tramitar el papeleo para hacer ensayos con pacientes. Además de EEUU, los nuevos destinos de la investigación biomédica son Asia y los miembros más recientes de la UE.
Europa se niega a limitar su participación en el negocio y a convertirse en mero comprador. Así, mientras intenta contener el precio de los medicamentos, busca maneras de no perder el tren de la inversión en investigación y desarrollo (I+D) proveniente de las multinacionales. Octavi Quintana, director general de Investigación Biomédica de la Comisión Europea, subraya que «en 1997, de cada 10 medicamentos que se lanzaban siete eran europeos. En 2003, sólo lo eran tres». La UE está dispuesta a colaborar, incluso económicamente, para que investigar en su territorio siga siendo rentable. Eso sí, como dice Quintana, «exigiendo absoluta transparencia, sabiendo todo lo que se hace y se financia». ¿Aceptará la industria este 'órdago'?
INVESTIGACIÓN CLÍNICA
Un control férreo sobre los resultados
FINANCIACIÓN. Más del 75% de los ensayos para conocer el perfil de eficacia y seguridad de los fármacos se financia por los laboratorios que los venden. La probabilidad de obtener resultados favorables para el producto es cuatro veces superior cuando el promotor es una farmacéutica.
INTERVENCIONISMO. Su control sobre la actividad investigadora es casi absoluto: diseñan los protocolos de los estudios, son las únicas con libre acceso a la base de datos de la investigación, analizan los resultados, escriben el artículo con las conclusiones e, incluso, si no son favorables, se reservan el derecho a no publicarlas.
COMPARSAS. En muchos casos, el investigador se limita a poco más que a captar a los pacientes. Las instituciones académicas que investigan para la industria intentan defenderse de este férreo control, pero un reciente análisis demuestra que con poco éxito. El terreno está abonado. Una encuesta entre cerca de 8.000 investigadores de EEUU que trabajan con fondos públicos ha revelado esta semana que un 33% de ellos reconoce haber manipulado en alguna ocasión los datos de sus estudios.
AGENCIAS REGULADORAS
¿Al servicio de sus clientes?
PRESUPUESTO. Parte de los fondos de las agencias del medicamento provienen de los laboratorios. Éstos abonan sustanciosas cantidades por el trabajo de revisión de los expedientes con la documentación que permitirá aprobar el producto.
RELACIONES. Las agencias solicitan opinión a expertos externos en el área terapéutica del medicamento en liza. Con mucha frecuencia, éstos mantienen contactos con los fabricantes y, en ocasiones, reciben honorarios por su labor como consultores para las compañías.
ESTUDIOS. Cada vez se exigen más ensayos de seguridad, pero aún así, algunos efectos adversos no son medibles a través de éstos. Para autorizar un fármaco se precisan estudios con resultados positivos, pero es imposible conocer otros ensayos previos que pudieran haber resultado negativos (la mayoría no llega a publicarse). Pueden autorizarse productos con más datos negativos que positivos. Muchos estudios incluyen un número reducido de pacientes, se excluye deliberadamente a los que presentan un perfil de riesgo desfavorable y son de corta duración. Se pueden diseñar para que la probabilidad de que se detecte un efecto adverso sea poco llamativa estadísticamente.
REVISTAS MÉDICAS
Incapaces de detectar el fraude
PUBLICIDAD. Los laboratorios buscan publicar los resultados de sus ensayos en revistas que gozan de amplio predicamento entre el colectivo médico. Algunas no son más que meros soportes para los anuncios de los laboratorios. Otras ingresan miles de millones por imprimir monografías y separatas por encargo para que las compañías los distribuyan masivamente.
REVISORES. Los especialistas externos que valoran la importancia del ensayo antes de su publicación no siempre son capaces de detectar los posibles sesgos que puede contener la información enviada por el laboratorio. La alta calidad y complejidad del diseño de los estudios y el hecho de que la base de datos completa de la investigación queda en manos de la compañía (los datos se ofrecen ya analizados) lo dificulta.
TRUCOS. Comparar un producto frente a otro que es inferior en eficacia, o frente a una dosis menor, o superior, para que el propio salga con menos efectos adversos; marcar varios objetivos en el estudio, para explotar sólo los favorables; desarrollar el ensayo en varios centros a la vez para luego publicar únicamente los positivos y mandarlos a varias revistas, en distintas ocasiones...
COLECTIVO MÉDICO
El poder de influir sobre la receta
VISITA MÉDICA. Unos 13.000 comerciales desarrollan labores promocionales en centros de salud y hospitales españoles. Se calcula que un médico de atención primaria dedica más de siete jornadas laborables completas al año a atender a los visitadores de la industria. Su objetivo oficial: ofrecer información científica al profesional. El real: influir en la prescripción en favor del último producto de su compañía, generalmente poco novedoso desde el punto de vista terapéutico (hasta un 71% de los fármacos objeto de este tipo de promoción, según estudios nacionales), pero sí más caro.
ARMAS DE PERSUASIÓN. La primera, bibliografía científica de dudosa calidad (más de la mitad de los galenos opina que no es útil y se ha demostrado que gran proporción de los mensajes publicitarios no se deriva del estudio que supuestamente los avala). Después, diversas formas de agasajo, como muestras gratuitas de medicamentos, invitaciones a congresos (los médicos se forman y actualizan conocimientos gracias a la industria), pagos por intervenir en conferencias, en ensayos clínicos... La realidad es que muchos médicos no ven problemas éticos en esta actividad y la asumen como parte de su trabajo.
PACIENTES
El nuevo objetivo promocional
PUBLICIDAD. En EEUU, la industria puede publicitar desde 1997 sus productos directamente al consumidor. Diversos estudios han demostrado cómo crece la receta de los medicamentos que más se anuncian y cómo los pacientes los demandan en mayor medida al médico. Europa no acepta este tipo de contacto directo, ya que es el Estado el que mayoritariamente financia el coste de los fármacos. Sin embargo, el acceso a Internet invalida la prohibición. Cualquier europeo puede informarse sobre los productos que los laboratorios de EEUU ofrecen en sus 'web' en inglés y, en ocasiones, en español.
ASOCIACIONES. Los colectivos de enfermos y familiares de pacientes son uno de los últimos objetivos promocionales de la industria. Con frecuencia financian sus actividades e, incluso, sus estructuras. Algunas asociaciones han nacido a instancias del interés de un laboratorio con el objetivo de influir sobre las decisiones en política farmacéutica y sanitaria. Un estudio realizado en 38 asociaciones españolas muestra que muy pocas disponen de mecanismos para garantizar su independencia informativa y financiera.
http://www.elmundo.es/suplementos/salud/2005/622//1119045610.html
domingo, 26 de septiembre de 2010
AGREAL/VERALIPRIDA EN ESPAÑA: MINISTERIO DE SANIDAD Y POLITICA SOCIAL ¿FUÉ EL AGREAL AUTORIZADO POR LIBRE REGISTRO O CRITERIO DE SEGURIDAD?
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Existen diferentes tipos de criterios para los sistemas de registro.
Criterio de "seguridad" o sistema de libre registro:
La Administración únicamente garantiza que el fármaco no resulte perjudicial.
NO MINISTERIO DE SANIDAD Y POLITICA SOCIAL: SI FUÉ REGISTRADO POR "CRITERIO DE SEGURIDAD".
NI SIQUIERA SE MOLESTARON "LOS INEPTOS" ENCARGADOS DE DAR EL VISTO BUENO DEL AGREAL/VERALIPRIDA EN ESPAÑA.
"AVERIGÜAR LOS ESTUDIOS EXISTENTES DESDE ANTES DE 1983":
Laplane D, Dougados M, Macron JM. Dyskinesias due to
Veralipride. Nouv Presse Med 1982; Jun 5; 11(26):2015.
Destee A, Warot P. Remarques a propos des dyskinesies dues au
veralipride. Presse Med 1983; 12(16):1018.
Bouchez B, Farre JM, Arnott G. Early excitomotor syndrome
during treatment with veralipride. LARC Med (France) 1984;
4(3):178-179.
Seeman P, Lee T, Chau-Wong M, Wong K. Antipsychotic drugs doses and neuroleptic/dopamine receptors. Nature 1976;26:717–9
Casey DE, Gerlach J, Christensson E. Dopamine, acetylcholine, and GABA effects in acute dystonia in primates. Psychopharmacology 1980;70:83–7.
PERO ES QUE POSTERIORMENTE AL 1983, TAMBIEN EN ESTUIOS, NI SIQUIERAN HICIERON NADA.
QUÉ HICIERON ÉSTOS "SABIOS INEPTOS" CON LAS TARJETAS AMARILLAS DE REACCIONES ADVERSAS, COMUNICADAS POR LAS DIFERENTES "FARMACOVIGILANCIAS" DE LAS CC.AA.?.
PUES NO HICIERON NADA.
NO "D. EMILIO VARGAS CASTRILLÓN " SUBDIRECTOR GENERAL DE MEDICAMENTOS DE USO HUMANO.
NADA PERO ABSOLUTAMENTE NADA "HICIERON BIEN" CON EL AGREAL/VERALIPRIDA EN ESPAÑA.
Y ESO "TODOS USTEDES" LO SABEN E INCLUIDO LOS LABORATORIOS SANOFI AVENTIS.
FUERA LA "AUTORIZACIÓN" POR EL MEDIO:
"CRITERIO DE SEGURIDAD" QUE DE SEGURIDAD, NO EXISTÍA NINGUNA POR LA FORMA EN QUE ESTABA INDICADO EN SU PROSPECTO Y POR LOS ESTUDIOS EXISTENTES, ANTERIOR AL 1983.
NOSOTRAS LAS MUJERES LUCHADORAS DE ESPAÑA DEL AGREAL, NOS DECANTAMOS PORQUE FUÉ "AUTORIZADO" POR:
"EL SISTEMA DE LIBRE REGISTRO"
LUEGO "NO LES HICIERON EL SEGUIMIENTO DEBIDO" NADA, NO HICIERON NADA.
NI LOS PROPIOS "ESPECIALISTAS EN PSIQUIATRIA" CONOCIÁN QUE EL AGREAL/VERALIPRIDA "EXISTIERA" EN ESPAÑA.
"PANDA DE INEPTOS"
AHORA "VAN Y CULPAN A LOS MÉDICOS" QUE LO PRESCRIBIERON "QUE ERAN CONOCEDORES DE LO QUE RECETABAN".
"LA PEOR ENCARNIZADA HUMANA, LA QUE COMETIERON A NIVEL ESPAÑA CON EL AGREAL/VERALIPRIDA".
............
EN NOMBRE DE TODAS "LAS MUJERES LUCHADORAS DE ESPAÑA".
A LA FUENTE QUE NOS FACILITÓ ESTA INFORMACIÓN:
"MUCHAS GRACIAS"
PERO AÚN HAY MÁS, MUCHO MAS Y PEOR AÚN.
RETIRADA DE TODOS LOS LOTES DE OCTAGAMOCTA 50 mg/ml y 100 mg/ml
COMUNICACIÓN SOBRE RIESGOS DE MEDICAMENTOS
PARA PROFESIONALES SANITARIOS
Ref: 2010/13
24 de septiembre de 2010
NOTA INFORMATIVA
RETIRADA DE TODOS LOS LOTES DE OCTAGAMOCTA 50 mg/ml y 100 mg/ml
POR UN INCREMENTO DEL RIESGO DE EVENTOS TROMBOEMBÓLICOS
•La Agencia Española de Medicamentos y Productos Sanitarios (AEMPS) ha ordenado la retirada de la totalidad de los lotes de Octagamocta (inmunoglobulina humana) 5% y 10%, por lo que ha dejado de estar disponible para su uso.
•La retirada se produce por el incremento en las notificaciones de eventos tromboembólicas (isquemia cerebral y miocárdica, así como trombosis venosa y arterial) detectado en Europa durante el segundo y tercer trimestres de 2010.
•Las causas de este incremento de eventos tromboembólicos están en estudio por parte de las autoridades reguladoras de toda Europa y en tanto no se esclarezcan las razones de este incremento se mantendrán las medidas cautelares.
La Agencia Española de Medicamentos y Productos Sanitarios (AEMPS) ha ordenado la retirada de todos los lotes de Octagamocta 50 mg/ml y 100 mg/ml solución para perfusión, del laboratorio Octapharma, S.A., de los puntos de distribución o dispensación donde se encuentren.1 Esta medida es continuación de la retirada del mercado de algunos lotes adoptada por la AEMPS el pasado 24 de agosto,2 y de la inmovilización de la totalidad de las unidades distribuidas de todos los lotes de Octagamocta 50 mg/ml y 100 mg/ml en las instalaciones del titular de la autorización de comercialización y en los puntos de dispensación y distribución adoptada el pasado 20 de septiembre.3
Octagamocta 50 mg/ml y 100 mg/ml solución para perfusión, son medicamentos de uso hospitalario que contienen como principio activo inmunoglobulinas humanas para su administración intravenosa y está indicado como terapia de sustitución en diferentes síndromes de inmunodeficiencia, en varias enfermedades autoinmunes por su efecto inmunomodulador y en el trasplante alogénico de médula ósea.4
Esta decisión se ha tomado por un incremento, especialmente durante el segundo y tercer trimestre de 2010, de los casos de eventos tromboembólicos (isquemia cerebral y miocárdica, así como trombosis venosa y arterial) detectados en diferentes países de Europa con la administración de Octagamocta 50 mg/ml. Aunque el uso de inmunoglobulinas se asocia a un mayor riesgo de eventos tromboembólicos, como queda recogido en las correspondientes fichas técnicas de los medicamentos con inmunoglobulinas, y la propia enfermedad y situación basal de los pacientes puede incrementar el riesgo de tales eventos, la tasa de notificación se ha incrementado significativamente en varios países de Europa.
El Sistema Español de Farmacovigilancia de medicamentos de uso humano (SEFV-H) no ha detectado un incremento significativo de casos notificados a lo largo de 2010. En concreto, se han recibido dos casos de eventos tromboembólicos a lo largo del tercer trimestre de 2010. En ambos casos los pacientes presentaban otros factores de riesgo para la aparición de eventos tromboembólicos ya contemplados en la ficha técnica del medicamento. Sin embargo, el consumo de Octagamocta 50 mg/ml y 100 mg/ml es bajo, representando sólo en torno al 10% del consumo global de inmunoglobulinas en España.
Las causas por las que las inmunoglobulinas pueden incrementar el riesgo de eventos tromboembólicos son diversas, entre ellas la hiperviscosidad plasmática, el incremento de la agregación plaquetaria o la activación de ciertos factores procoagulantes.
La compañía Octapharma está evaluando en estos momentos si existe algún problema de calidad asociado al medicamento que pueda explicar este incremento de eventos tromboembólicos en los pacientes tratados con Octagamocta 50 mg/ml. Por su parte, el Comité de Medicamentos de Uso Humano (CHMP) de la Agencia Europea de Medicamentos (EMA), comité científico constituido por los representantes de todas las agencias nacionales europeas, ha iniciado una investigación tanto de Octagamocta 50 mg/ml como de Octagamocta 100 mg/ml y ha recomendado en su reunión de septiembre de 2010 la suspensión y retirada de ambas.5 Otros países de la Unión Europea han iniciado acciones cautelares iguales o parecidas a la adoptada por la AEMPS ya hace un mes.
Como consecuencia de ello, Octagamocta 50 mg/ml y 100 mg/ml no deben ser utilizados hasta que se identifiquen y se corrijan las causas de este incremento inesperado de eventos tromboembólicos, así como si afectan a la totalidad de los lotes producidos o sólo a parte de ellos.
No se prevé que esta medida cautelar origine una situación de desabastecimiento dado que las necesidades de tratamiento con inmunoglobulinas pueden cubrirse con otras alternativas disponibles en el mercado con el mismo principio activo. Las alternativas disponibles junto con sus fichas técnicas pueden consultarse en la web de la AEMPS, dentro de la sección CIMA: Centro de Información Online de Medicamentos de la AEMPS.
La AEMPS seguirá proporcionando toda la información disponible conforme se vaya produciendo. Por último, se recuerda a todos los profesionales sanitarios la importancia de comunicar las sospechas de reacciones adversas al Centro Autonómico de Farmacovigilancia correspondiente
Fecha de actualización: 24 de septiembre de 2010
sábado, 25 de septiembre de 2010
AVANDIA: La retirada no perjudicará a los pacientes con diabetes tipo 2, Asegura el presidente de la SED
Asegura el presidente de la SED.
La retirada no perjudicará a los pacientes con diabetes tipo 2.
El presidente de la Sociedad Española de Diabetes (SED), Manuel Aguilar Diosdado, considera que la retirada del mercado del antidiabético de GSK 'Avandia' (rosiglitazona), anunciada por la Agencia Europea del Medicamento (EMA, en inglés), "no tiene por qué perjudicar a los pacientes con diabetes tipo 2", para los que existen buenas alternativas de tratamiento, y no debe tomarse "como una noticia alarmante", pues se trata sólo "de que sus riegos superan al beneficio".
"Tanto la decisión de la EMA como la de la FDA en Estados Unidos, esta última algo más conservadora, son prudentes y son el resultado de muchos estudios puestos en marcha hace varios años sobre el riesgo-beneficio de 'Avandia' y el resto de antidiabéticos que contienen su mismo principio activo", ha declarado a Europa Press, el doctor Aguilar, jefe del Servicio de Endocrinología del Hospital del Mar.
"Su conclusión común --insiste-- es que el beneficio que aporta, sobre todo para prevenir la enfermedad cardiovascular en pacientes con diabetes tipo 2, no es suficiente frente a los problemas que ocasiona, entre ellos descompensación de la insuficiencia cardíaca en pacientes que ya la sufren, ganancia de peso y edemas".
A su juicio, lo más importante es que esta decisión "no genere alarma entre los pacientes que toman fármacos con rosiglitazona, porque no se han retirado del mercado por tener efectos tóxicos ni se ha realizado una retirada masiva del fármaco del mercado, sino una consecuencia más del estudio de vigilancia farmacológica que tiene que realizarse a todo nuevo fármaco en el mercado".
También es importante, según el presidente de la SED, que los pacientes que estén medicándose con este tipo de antidiabéticos sigan las recomendaciones de la EMA y la Agencia Española de Medicamentos y Productos Sanitarios (AEMPS) y acuda a su médico antes de abandonar el tratamiento y arriesgarse así a descompensar su control de la diabetes. "La retirada --dice--debe ser lógica y paulatina".
RETIRADO DEL MERCADO EN LA UE
La EMA ha recomendado este jueves suspender la autorización comercial del antidiabético de GSK 'Avandia' y del resto de antidiabéticos con su mismo principio activo: 'Avaglim' y 'Avandamet', también de GSK. Podrían estar fuera del mercado europeo en los próximos meses, ya que esta agencia ha enviado ya su recomendación a la Comisión Europea para que adopte la decisión legal.
La suspensión se mantendrá a menos que GSK facilite a esta agencia datos convincentes que identifiquen a un grupo de pacientes en el que los beneficios de este fármaco superen a sus riesgos.
La EMA recomienda a los pacientes que están tomando 'Avandia' en estos momentos que pidan cita a su médico para buscar un tratamiento alternativo y que no dejen sus tratamientos antes de hablar con un médico. Por su parte, los médicos deberán dejar de prescribir este fármaco y otros que contengan su mismo principio activo.
La actual revisión de rosiglitazona realizada por el Comité de Productos Médicos para Uso Humano (CHMP) de la EMA comenzó el pasado 9 de julio, a partir de la aparición de nuevos estudios que cuestionaban la seguridad cardiovascular de este fármaco.
Desde su primera autorización, se sabe que rosiglitazona está asociado con problemas de retención de líquidos y con un aumento del riesgo de sufrir un fallo cardíaco. Su seguridad cardiovascular ha sido siempre vigilada y revisada de cerca por las autoridades del medicamento de todo el mundo.
Por este motivo, el uso de rosiglitazona fue restringido a tratamiento de segunda linea y contraindicado en pacientes con fallo cardíaco o con un historial de fallos cardíacos cuando fue aprobado por primera vez para su comercialización en el mercado como 'Avandia' en el año 2000.
RESTRINGIDO SU USO EN EE.UU.
También este jueves, la FDA ha anunciado que mantendrá a 'Avandia' en el mercado y a todos los fármacos con su principio activo, pero añadiendo advertencias adicionales de seguridad en su etiquetado y restricciones para su uso por los riesgos cardiovasculares que conlleva.
Por su parte, tras conocer ambas decisiones sobre 'Avandia', GSK ha anunciado que sigue creyendo que el fármaco es "un tratamiento importante" para los pacientes con diabetes tipo 2 y que está trabajando con la FDA y la EMA para realizar las acciones que les solicitan y que podrían devolver al mercado estos antidiabéticos.
(EUROPA PRESS) -
MURCIA: Sanidad pedirá el cambio del prospecto para evitar más casos
Sanidad pedirá el cambio del prospecto para evitar más casos
REGIÓN MURCIA
El Biominol A+D se comercializa desde 1951, según explicó ayer Casimiro Jiménez, jefe de servicio de Ordenación y Atención Farmacéutica. «No ha cambiado la redacción de su prospecto y la información que aparece es muy limitada», aseguró. Por eso, y para evitar que puedan producirse nuevos casos de intoxicaciones por sobredosis, la Consejería de Sanidad pedirá a la Agencia Española del Medicamento que tome cartas en el asunto y cambie la información del prospecto. Los médicos recuerdan que la vitamina D no es perjudicial si se administra bien. «Antes en Murcia había mucho raquitismo, y gracias a la vitamina hemos conseguido erradicarlo», explica Ana María Rodríguez, presidente de la Asociación de Pediatría Extrahospitalaria.
http://www.laverdad.es/murcia/v/20100925/region/sanidad-pedira-cambio-prospecto-20100925.html
Cuatro bebés sufren una intoxicación grave por sobredosis de vitaminas
24.09.10 - J. P. PARRA
La Consejería investiga a dos pediatras por si prescribieron un exceso de Biominol, un medicamento habitual para evitar el raquitismo.
Las alarmas han saltado en la Consejería de Sanidad y el hospital de La Arrixaca. Cuatro bebés han sufrido en los últimos meses una grave intoxicación por sobredosis de Biominol, un medicamento muy habitual para la prevención del raquitismo, entre otras enfermedades. La Consejería confirmó ayer los cuatro casos. El último es un niño de seis meses y medio que ingresó en la UCI del materno infantil el jueves pasado con una grave alteración de la función renal. Los médicos descubrieron que, al igual que ocurrió con los tres bebés anteriores, el problema estaba producido por un exceso de Biominol. El pequeño está ya fuera de peligro.
Sanidad está investigando, según ha podido saber 'La Verdad', si la sobredosis de Biominol se debe a que dos pediatras prescribieron más cantidad de fármaco del indicado. El medicamento es muy habitual entre los bebés de hasta seis meses. Se trata de una combinación de vitamina A+D que aporta el calcio necesario para el fortalecimiento de los huesos. El problema es que un exceso de calcio en sangre tiene consecuencias muy graves. Puede afectar al riñón. El órgano sufre una 'invasión' de cálculos y se altera la función renal. El paciente puede incluso morir. Por eso, el bebé que ingresó en La Arrixaca la semana pasada fue inmediatamente trasladado a la UCI. Había riesgo de convulsiones y alteraciones cardiacas que afortunadamente no se produjeron. Los médicos de La Arrixaca indican habitualmente unas 200 gotas de vitamina D a lo largo de los seis primeros meses de vida, explican fuentes médicas. Son una o a lo sumo dos gotas diarias. Los cuatro bebés intoxicados habrían consumido cantidades muy superiores. Sanidad investiga si esa sobredosis se debió o no a una mala praxis de sus pediatras.
Además, Farmacología ha enviado todos los datos a la Agencia Española del Medicamento para que los evalúe. En todo caso, fuentes de la Consejería insisten en que todo parece indicar que el problema fue una sobredosis, y que el medicamento en sus dosis recomendadas no ha producido intoxicaciones de este tipo. Si se confirman estos extremos, no e previsible que la Agencia Española del Medicamento actúe contra el fármaco. Fuentes médicas recuerdan que el Biominol «no es tóxico en sus dosis recomendadas, por lo que no presenta problema alguno si se toma adecuadamente».
Fuera de peligro
El último de los bebés afectados se recupera en planta tras haber pasado cuatro días en la UCI de La Arrixaca. El pequeño llegó a Urgencias con pérdida de peso, pérdida de fuerza y vómitos, entre otros síntomas. Los análisis mostraron que la causa se debía a una intoxicación de vitamina D. La rápida actuación de los médicos del hospital permitió que el bebé se recupere satisfactoriamente, aunque todavía tendrá que permanecer algunos días más ingresado.
http://salud.laverdad.es/pediatria/1849-cuatro-bebes-sufren-una-intoxicacion-grave-por-sobredosis-de-vitaminas
viernes, 24 de septiembre de 2010
Se encontró una asociación de los AINE con la FA; la conexión podría ser a través de la inflamación
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Se encontró una asociación de los AINE con la FA; la conexión podría ser a través de la inflamación
23 de septiembre de 2010 Lisa Nainggolan
(Artículo original en inglés, heartwire; 15 sep. 2010) Chieti, Italia —
El uso de medicamentos antiinflamatorios no esteroideos (AINE) se asoció con un riesgo creciente de fibrilación atrial crónica (FA), según sugiere un nuevo estudio [1]. Sin embargo, los investigadores no piensan que los medicamentos estén causando FA; más bien postulan que la inflamación subyacente que necesita la terapia con AINE sería la responsable.
El Dr. Raffaele De Caterina (Universidad G d'Annunzio, Chieti, Italia) y colegas encontraron un aumento estadísticamente significativo del 44% en el riesgo de FA crónica, pero ninguna asociación con la FA paroxismal en usuarios de AINE. También confirmaron hallazgos anteriores respecto a la asociación de los esteroides con la FA, encontrando que aquellos que toman esteroides tienen dos y media veces más probabilidades de desarrollar FA crónica que aquellos que no los toman; según reportaron en su artículo, publicado en el número del 13 de septiembre de 2010 de Archives of Internal Medicine.
"Una posible explicación de nuestros hallazgos es la existencia de una condición inflamatoria subyacente que aumenta el riesgo de la FA por un lado, y que promueve el uso de los AINE, por el otro", dijeron. Sería ideal que en estudios futuros se incluyera una descripción de la función del ventrículo izquierdo, el tamaño de la aurícula y/o su función, y los marcadores de la inflamación, lo que ayudaría a hacer una asociación "más convincente biológicamente hablando", agregaron.
Una hipótesis que merece mayor investigación
De Caterina et al identificaron pacientes entre 40 y 89 años con un primer diagnóstico de FA en 1996 en General Practice Research Database del Reino Unido y los clasificaron en dos grupos: uno con fibrilación atrial paroxismal, y el otro con fibrilación atrial crónica. Después de validar con sus médicos generales, se confirmó que 1035 pacientes habían tenido FA incidental y 525 FA paroxismal. Dos análisis de casos, separados, anidados y controlados calcularon el riesgo de la FA de primera vez, crónica y paroxismal entre los usuarios de esteroides y de AINE.
Se observó un riesgo creciente de FA crónica con el uso de AINE, sin importar la duración del tratamiento, aunque los investigadores encontraron un riesgo aun mayor asociado al uso a largo plazo (TR 1.80 en aquellos que habían usado AINE por más de un año). Sin embargo, no se encontró una aparente relación con la respuesta a la dosis cuando dividieron el uso diario en bajo, medio y alto.
Los hallazgos tampoco pueden explicarse por la ocurrencia de insuficiencia cardiaca, dijeron. De Caterina y colegas; ya que con una estratificación mayor, no encontraron que el riesgo creciente de FA estuviera asociado con AINE en aquellos con IC anterior (pero presente en aquellos sin IC).
Continuaron explicando que los cambios patológicos anatómicos más frecuentes en FA son fibrosis atrial, pérdida de masa en el músculo atrial, y, aunque es difícil distinguir entre los cambios debidos a la FA y aquellos debidos a la enfermedad cardiaca asociada, la fibrosis puede anteceder la aparición de la FA y puede ser causada por inflamación.
"Es posible, y quisiéramos proponerlo, que las condiciones presentes en la inflamación sistemática, como los desórdenes autoinmunes y reumáticos, representen un factor de riesgo independiente de la fibrosis atrial y subsecuentemente un riesgo creciente de aparición o persistencia de FA. Creemos que esta hipótesis merece mayor investigación", concluyeron.
La recopilación de datos para determinar los casos de FA se llevó a cabo con el financiamiento sin restricciones al Centro Español de Investigación Farmacoepidemiológica de AstraZeneca. Los autores reportaron no tener nada que declarar.
Se encontró una asociación de los AINE con la FA; la conexión podría ser a través de la inflamación
23 de septiembre de 2010 Lisa Nainggolan
(Artículo original en inglés, heartwire; 15 sep. 2010) Chieti, Italia —
El uso de medicamentos antiinflamatorios no esteroideos (AINE) se asoció con un riesgo creciente de fibrilación atrial crónica (FA), según sugiere un nuevo estudio [1]. Sin embargo, los investigadores no piensan que los medicamentos estén causando FA; más bien postulan que la inflamación subyacente que necesita la terapia con AINE sería la responsable.
El Dr. Raffaele De Caterina (Universidad G d'Annunzio, Chieti, Italia) y colegas encontraron un aumento estadísticamente significativo del 44% en el riesgo de FA crónica, pero ninguna asociación con la FA paroxismal en usuarios de AINE. También confirmaron hallazgos anteriores respecto a la asociación de los esteroides con la FA, encontrando que aquellos que toman esteroides tienen dos y media veces más probabilidades de desarrollar FA crónica que aquellos que no los toman; según reportaron en su artículo, publicado en el número del 13 de septiembre de 2010 de Archives of Internal Medicine.
"Una posible explicación de nuestros hallazgos es la existencia de una condición inflamatoria subyacente que aumenta el riesgo de la FA por un lado, y que promueve el uso de los AINE, por el otro", dijeron. Sería ideal que en estudios futuros se incluyera una descripción de la función del ventrículo izquierdo, el tamaño de la aurícula y/o su función, y los marcadores de la inflamación, lo que ayudaría a hacer una asociación "más convincente biológicamente hablando", agregaron.
Una hipótesis que merece mayor investigación
De Caterina et al identificaron pacientes entre 40 y 89 años con un primer diagnóstico de FA en 1996 en General Practice Research Database del Reino Unido y los clasificaron en dos grupos: uno con fibrilación atrial paroxismal, y el otro con fibrilación atrial crónica. Después de validar con sus médicos generales, se confirmó que 1035 pacientes habían tenido FA incidental y 525 FA paroxismal. Dos análisis de casos, separados, anidados y controlados calcularon el riesgo de la FA de primera vez, crónica y paroxismal entre los usuarios de esteroides y de AINE.
Se observó un riesgo creciente de FA crónica con el uso de AINE, sin importar la duración del tratamiento, aunque los investigadores encontraron un riesgo aun mayor asociado al uso a largo plazo (TR 1.80 en aquellos que habían usado AINE por más de un año). Sin embargo, no se encontró una aparente relación con la respuesta a la dosis cuando dividieron el uso diario en bajo, medio y alto.
Los hallazgos tampoco pueden explicarse por la ocurrencia de insuficiencia cardiaca, dijeron. De Caterina y colegas; ya que con una estratificación mayor, no encontraron que el riesgo creciente de FA estuviera asociado con AINE en aquellos con IC anterior (pero presente en aquellos sin IC).
Continuaron explicando que los cambios patológicos anatómicos más frecuentes en FA son fibrosis atrial, pérdida de masa en el músculo atrial, y, aunque es difícil distinguir entre los cambios debidos a la FA y aquellos debidos a la enfermedad cardiaca asociada, la fibrosis puede anteceder la aparición de la FA y puede ser causada por inflamación.
"Es posible, y quisiéramos proponerlo, que las condiciones presentes en la inflamación sistemática, como los desórdenes autoinmunes y reumáticos, representen un factor de riesgo independiente de la fibrosis atrial y subsecuentemente un riesgo creciente de aparición o persistencia de FA. Creemos que esta hipótesis merece mayor investigación", concluyeron.
La recopilación de datos para determinar los casos de FA se llevó a cabo con el financiamiento sin restricciones al Centro Español de Investigación Farmacoepidemiológica de AstraZeneca. Los autores reportaron no tener nada que declarar.
Golpe a Merck: Europa rechaza su fármaco contra la esclerosis múltiple
Alberto Jaen Garcia ha dejado un comentario : PLAVIT o CLOPIDOGREL
Me comentan que no tiene los mismos efectos el Plavix 75 que el genérico que se despacha en las farmacias ¿Es cierto?.
Soy un enfermo que tiene recetado el Plavix y en las farmacias quieren darme el clopidrogel pero genérico.
..............
AMIGO A ÉSTA QUE TE CONTESTA, SI MI MÉDICO ME INDICA EN LA RECETA: PLAVIT, EXIGIRÍA AL FARMACEUTICO ME DIERA PLAVIT Y NO CLOPIDROGEL.
Los genéricos son bioequivalentes a la molécula original.
En México, 1.3 millones con trastorno bipolar- E INDICAMOS NOSOTRAS "HABRÁN MUCHISIMAS MAS SINO RETIRAN EL "ACLIMAFEL/VERALIPRIDA"
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En México, 1.3 millones con trastorno bipolar.
La gente que padece este mal pierde 14.3 años de vida productiva en promedio, y en fases euforomaniacas puede cometer actos delictivos.
Desde los 12 años Laura presentó los primeros síntomas del conocido como trastorno bipolar, enfermedad que afecta a más de 1 millón 300 mil mexicanos, es decir, a 1 de cada 100 habitantes en edad productiva, de los cuales 70% carece de atención, según explicó su psiquiatra Ingrid Vargas, ganadora del tercer lugar del Premio Nacional de Biomédica Clínica.
Laura tardó 25 años en entender que sus problemas relacionados con drogas, intentos de suicidio e infidelidades, estados de ánimo depresivos prolongados o de euforia súbita que la hacían emprender negocios imposibles y endeudarse con las tarjetas de crédito, tenían que ver con el padecimiento mental.
Vargas, también autora de “Percepción de la enfermedad y prácticas de atención en pacientes con trastorno bipolar”, adscrita al Instituto Nacional de Psiquiatría Ramón de la Fuente, comentó que la adolescente cayó en fase de depresión, que se reflejó con un bajo desempeño escolar.
Sin embargo, después de una semana de estar prácticamente tirada en la cama, Laura comenzó a desarrollar periodos de hipomanía, es decir, elevación del estado de ánimo que la hacían dormir poco, estar muy alegre y demasiado hiperactiva.
A los 21 años de edad, recordó Vargas, la joven desarrolló manías más agudas ya que comenzó a hacer planes de crear una empresa trasnacional bajo una base poco sostenible, que derivó en gastos, endeudamientos y en un eminente fracaso. Por cuatro meses se dedicó, abundó Vargas, a gastar y endeudarse, a perder prácticamente su patrimonio que la hizo caer con psiquiatras poco capacitados que se limitaron a diagnosticarle depresión y a recetarle antidepresivos que sólo acentuaban más su enfermedad, ya sea que estuviera todo el tiempo dormida o fuera de control de sus emociones.
A los 27 años, narró la especialista, Laura presentó la fase más grave, ya que estando casada comenzó a ser infiel, a volver a emprender negocios imposibles que la desfalcaron y a sufrir pérdidas, por lo que su marido pidió el divorcio.
Los efectos de la bipolaridad en Laura cada vez se acentuaban más al grado de pedirle concluir sus estudios, de tener una relación amorosa estable y amigos; por lo regular se fugaba de casa por largas temporadas y en una de esas regresó embarazada. El embarazo también trajo consigo una tempestad, ya que al nacer el bebé Laura intentó suicidarse, comenzó a drogarse y alcoholizarse. Sentía aversión hacia su propio hijo, hasta que volvió a caer en el psiquiátrico, que se limitó a darle antipsicóticos.
El diagnóstico
Luego de varios años de batallas Laura llegó a consultorio de Vargas, quien al hacer su historial clínico finalmente le diagnosticó que su problema se relacionaba con trastorno bipolar y, a partir de esa fecha, comenzó a tomar el tratamiento adecuado que le permite tener “una vida lo más apegado a lo normal, es una mujer productiva que mantiene a la familia y a su hijo adolescente”, dijo la psiquiatra.
Y aunque ahora Laura enfrenta otro problema hormonal, es decir, la entrada de la menopausia a los 48 años, el tratamiento integral ya no la hace sufrir depresión severa o esas etapas de euforia acelerada.
El padecimiento
Vargas refirió que el trastorno bipolar en México se encuentra por encima de la media normal, que oscila en 1%, ya que tenemos 1.3% de prevalencia, además de que representa la sexta causa de muerte, muy por encima de la mortalidad materna.
Las personas con dicho problema mental, dijo en entrevista, pierden 14.3 años de vida productiva y cuando están en fases euforomaniacas combinadas con irritabilidad pueden vincularse con actos delictivos o de violencia, como asaltos y ataques sexuales.
Por ello, aseveró, en las cárceles hay mucha gente enferma no tratada y menos aún diagnosticada que purga sentencias largas por involucrase en ilícitos. Pero además la bipolaridad no controlada coloca a la persona en una situación de estar tres veces más en riesgo de suicidarse, “19% de los pacientes tienen ideas suicidas y la misma impulsivilidad los lleva a atentar contra su vida.
“Este problema es resultado de varios factores, ya sea la predisposición genética y biológica combinada con el entorno social; por ejemplo, un viaje al otro lado del océano desencadena los síntomas o bien la pérdida de un ser querido”, describió Vargas.
Por lo regular, los médicos poco adiestrados confunden el trastorno bipolar con depresión o problemas limítrofes de la personalidad, por eso los tratamientos que otorgan son inadecuados.
Vargas detalló que una persona bipolar se distingue por tener una semana continua de depresión, y otras dos por manías eufóricas caracterizadas por un pensamiento poco estructurado, verborrea, ideas de grandiosidad, hipersexualidad, desarrollo de conductas de riesgo como no protegerse o usar drogas y alcohol, violencia súbita. En México hay tratamiento adecuado y lo único que hace falta es un diagnóstico correcto y evitar discriminar a este sector.
México • Blanca Valadez.
http://www.milenio.com/node/536772
En México, 1.3 millones con trastorno bipolar.
La gente que padece este mal pierde 14.3 años de vida productiva en promedio, y en fases euforomaniacas puede cometer actos delictivos.
Desde los 12 años Laura presentó los primeros síntomas del conocido como trastorno bipolar, enfermedad que afecta a más de 1 millón 300 mil mexicanos, es decir, a 1 de cada 100 habitantes en edad productiva, de los cuales 70% carece de atención, según explicó su psiquiatra Ingrid Vargas, ganadora del tercer lugar del Premio Nacional de Biomédica Clínica.
Laura tardó 25 años en entender que sus problemas relacionados con drogas, intentos de suicidio e infidelidades, estados de ánimo depresivos prolongados o de euforia súbita que la hacían emprender negocios imposibles y endeudarse con las tarjetas de crédito, tenían que ver con el padecimiento mental.
Vargas, también autora de “Percepción de la enfermedad y prácticas de atención en pacientes con trastorno bipolar”, adscrita al Instituto Nacional de Psiquiatría Ramón de la Fuente, comentó que la adolescente cayó en fase de depresión, que se reflejó con un bajo desempeño escolar.
Sin embargo, después de una semana de estar prácticamente tirada en la cama, Laura comenzó a desarrollar periodos de hipomanía, es decir, elevación del estado de ánimo que la hacían dormir poco, estar muy alegre y demasiado hiperactiva.
A los 21 años de edad, recordó Vargas, la joven desarrolló manías más agudas ya que comenzó a hacer planes de crear una empresa trasnacional bajo una base poco sostenible, que derivó en gastos, endeudamientos y en un eminente fracaso. Por cuatro meses se dedicó, abundó Vargas, a gastar y endeudarse, a perder prácticamente su patrimonio que la hizo caer con psiquiatras poco capacitados que se limitaron a diagnosticarle depresión y a recetarle antidepresivos que sólo acentuaban más su enfermedad, ya sea que estuviera todo el tiempo dormida o fuera de control de sus emociones.
A los 27 años, narró la especialista, Laura presentó la fase más grave, ya que estando casada comenzó a ser infiel, a volver a emprender negocios imposibles que la desfalcaron y a sufrir pérdidas, por lo que su marido pidió el divorcio.
Los efectos de la bipolaridad en Laura cada vez se acentuaban más al grado de pedirle concluir sus estudios, de tener una relación amorosa estable y amigos; por lo regular se fugaba de casa por largas temporadas y en una de esas regresó embarazada. El embarazo también trajo consigo una tempestad, ya que al nacer el bebé Laura intentó suicidarse, comenzó a drogarse y alcoholizarse. Sentía aversión hacia su propio hijo, hasta que volvió a caer en el psiquiátrico, que se limitó a darle antipsicóticos.
El diagnóstico
Luego de varios años de batallas Laura llegó a consultorio de Vargas, quien al hacer su historial clínico finalmente le diagnosticó que su problema se relacionaba con trastorno bipolar y, a partir de esa fecha, comenzó a tomar el tratamiento adecuado que le permite tener “una vida lo más apegado a lo normal, es una mujer productiva que mantiene a la familia y a su hijo adolescente”, dijo la psiquiatra.
Y aunque ahora Laura enfrenta otro problema hormonal, es decir, la entrada de la menopausia a los 48 años, el tratamiento integral ya no la hace sufrir depresión severa o esas etapas de euforia acelerada.
El padecimiento
Vargas refirió que el trastorno bipolar en México se encuentra por encima de la media normal, que oscila en 1%, ya que tenemos 1.3% de prevalencia, además de que representa la sexta causa de muerte, muy por encima de la mortalidad materna.
Las personas con dicho problema mental, dijo en entrevista, pierden 14.3 años de vida productiva y cuando están en fases euforomaniacas combinadas con irritabilidad pueden vincularse con actos delictivos o de violencia, como asaltos y ataques sexuales.
Por ello, aseveró, en las cárceles hay mucha gente enferma no tratada y menos aún diagnosticada que purga sentencias largas por involucrase en ilícitos. Pero además la bipolaridad no controlada coloca a la persona en una situación de estar tres veces más en riesgo de suicidarse, “19% de los pacientes tienen ideas suicidas y la misma impulsivilidad los lleva a atentar contra su vida.
“Este problema es resultado de varios factores, ya sea la predisposición genética y biológica combinada con el entorno social; por ejemplo, un viaje al otro lado del océano desencadena los síntomas o bien la pérdida de un ser querido”, describió Vargas.
Por lo regular, los médicos poco adiestrados confunden el trastorno bipolar con depresión o problemas limítrofes de la personalidad, por eso los tratamientos que otorgan son inadecuados.
Vargas detalló que una persona bipolar se distingue por tener una semana continua de depresión, y otras dos por manías eufóricas caracterizadas por un pensamiento poco estructurado, verborrea, ideas de grandiosidad, hipersexualidad, desarrollo de conductas de riesgo como no protegerse o usar drogas y alcohol, violencia súbita. En México hay tratamiento adecuado y lo único que hace falta es un diagnóstico correcto y evitar discriminar a este sector.
México • Blanca Valadez.
http://www.milenio.com/node/536772
MEXICO: Mejorar la vida de diabéticos, negocio para los laboratorios.
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Ángeles Cruz Martínez
Periódico La Jornada
Jueves 23 de septiembre de 2010, p. 41
Fráncfort, 22 de septiembre. La reducción en la esperanza de vida y la pérdida de años de calidad debido a la alta prevalencia de diabetes y sus complicaciones, representan para los laboratorios farmacéuticos una oportunidad de expandir sus áreas de negocio, en particular para aquellos que buscan alternativas que les permitan resarcir la reducción de ventas por el vencimiento de patentes en medicamentos innovadores.
Así lo evidencia el crecimiento de Sanofi Aventis en China, donde hace una década carecía de presencia y ahora da empleo a unas 2 mil personas. En el país asiático viven 90 millones de individuos con diabetes, señaló Christoph Heinemann, vicepresidente global de Operaciones y Estrategia de Diabetes de la firma.
Aunque los principales mercados de la empresa de capital francés son todavía Estados Unidos y Europa, la tendencia se modificará en los siguientes cinco años, con el incremento en la demanda en la nación asiática. Una situación similar se prevé en India, Brasil y México, indicó.
Sobre nuestro país, el ejecutivo de la farmacéutica explicó que si bien la prevalencia de la alteración metabólica entre los mexicanos es similar a la de países desarrollados –8 por ciento– sigue pendiente de atender el reto de garantizar el acceso a servicios de salud para la población en su conjunto.
Esto permitirá tener más diagnósticos tempranos de diabetes y, por tanto, el aumento en la demanda de medicinas.
La apuesta del corporativo es fortalecer su participación en el mercado de insulina, con sus aplicadores, rubro en el que ya ocupan el segundo lugar mundial en ventas, con su producto Lantus.
Sobre todo, explicó Heinemann, luego de que existe consenso entre los especialistas a escala internacional sobre la conveniencia del inicio temprano de la terapia de control de diabetes con insulina, reconocida como la mejor alternativa para prevenir las complicaciones de la enfermedad, principalmente insuficiencia renal crónica, retinopatía diabética y amputación de extremidades.
De esta manera, planteó, se logran los mayores beneficios en el largo plazo para la salud de las personas y la economía de los países. Así lo han entendido las naciones desarrolladas, donde los enfermos inician tratamiento con insulina entre cinco y siete años después de haber tenido el diagnóstico, mientras en México esto ocurre luego de 11 años.
Sanofi tiene en esta ciudad la fábrica de Lantus. Aquí se realiza el proceso de producción y distribución de las “plumas” a países donde la empresa tiene presencia.
Esto es algo de lo que realiza Sanofi Aventis para enfrentar la reducción de 7 por ciento en sus ventas, que tendrá a partir de 2011, año en que terminarán los derechos de propiedad industrial de tres productos: Plavix, utilizado en el control de enfermedad arterial periférica; Clexane, para prevención de trombosis, y Taxotere, tratamiento de quimioterapia para cáncer de mama.
.......................................
ATENCIÓN QUE EN EUROPA SE HA SUSPENDIDO EL MEDICAMENTO "AVANDIA" Y LA FDA. LO TIENE CON "RESTRICCIONES POR LOS EFECTOS ADVERSOS".
¿QUÉ SE VAN PARA CHINA Y OTROS PAISES ORIENTALES?
ESO ERA CONOCIDO, DESDE HACE MUCHO TIEMPO.
PARA ÉLLOS "LA PELA ES LA PELA".
QUEREMOS DECIR:
AHORROS EN MUCHOS MILLONES DE EUROS
Ángeles Cruz Martínez
Periódico La Jornada
Jueves 23 de septiembre de 2010, p. 41
Fráncfort, 22 de septiembre. La reducción en la esperanza de vida y la pérdida de años de calidad debido a la alta prevalencia de diabetes y sus complicaciones, representan para los laboratorios farmacéuticos una oportunidad de expandir sus áreas de negocio, en particular para aquellos que buscan alternativas que les permitan resarcir la reducción de ventas por el vencimiento de patentes en medicamentos innovadores.
Así lo evidencia el crecimiento de Sanofi Aventis en China, donde hace una década carecía de presencia y ahora da empleo a unas 2 mil personas. En el país asiático viven 90 millones de individuos con diabetes, señaló Christoph Heinemann, vicepresidente global de Operaciones y Estrategia de Diabetes de la firma.
Aunque los principales mercados de la empresa de capital francés son todavía Estados Unidos y Europa, la tendencia se modificará en los siguientes cinco años, con el incremento en la demanda en la nación asiática. Una situación similar se prevé en India, Brasil y México, indicó.
Sobre nuestro país, el ejecutivo de la farmacéutica explicó que si bien la prevalencia de la alteración metabólica entre los mexicanos es similar a la de países desarrollados –8 por ciento– sigue pendiente de atender el reto de garantizar el acceso a servicios de salud para la población en su conjunto.
Esto permitirá tener más diagnósticos tempranos de diabetes y, por tanto, el aumento en la demanda de medicinas.
La apuesta del corporativo es fortalecer su participación en el mercado de insulina, con sus aplicadores, rubro en el que ya ocupan el segundo lugar mundial en ventas, con su producto Lantus.
Sobre todo, explicó Heinemann, luego de que existe consenso entre los especialistas a escala internacional sobre la conveniencia del inicio temprano de la terapia de control de diabetes con insulina, reconocida como la mejor alternativa para prevenir las complicaciones de la enfermedad, principalmente insuficiencia renal crónica, retinopatía diabética y amputación de extremidades.
De esta manera, planteó, se logran los mayores beneficios en el largo plazo para la salud de las personas y la economía de los países. Así lo han entendido las naciones desarrolladas, donde los enfermos inician tratamiento con insulina entre cinco y siete años después de haber tenido el diagnóstico, mientras en México esto ocurre luego de 11 años.
Sanofi tiene en esta ciudad la fábrica de Lantus. Aquí se realiza el proceso de producción y distribución de las “plumas” a países donde la empresa tiene presencia.
Esto es algo de lo que realiza Sanofi Aventis para enfrentar la reducción de 7 por ciento en sus ventas, que tendrá a partir de 2011, año en que terminarán los derechos de propiedad industrial de tres productos: Plavix, utilizado en el control de enfermedad arterial periférica; Clexane, para prevención de trombosis, y Taxotere, tratamiento de quimioterapia para cáncer de mama.
.......................................
ATENCIÓN QUE EN EUROPA SE HA SUSPENDIDO EL MEDICAMENTO "AVANDIA" Y LA FDA. LO TIENE CON "RESTRICCIONES POR LOS EFECTOS ADVERSOS".
¿QUÉ SE VAN PARA CHINA Y OTROS PAISES ORIENTALES?
ESO ERA CONOCIDO, DESDE HACE MUCHO TIEMPO.
PARA ÉLLOS "LA PELA ES LA PELA".
QUEREMOS DECIR:
AHORROS EN MUCHOS MILLONES DE EUROS
EUROPA "SUSPENDE AVANDIA"
Los europeos con diabetes tipo 2, en tratamiento con «Avandia», deberán ponerse en contacto con su médico para buscar otro fármaco que les ayude a controlar su glucosa. La Agencia Europea del Medicamento ha decidido suspender la comercialización tras concluir que los beneficios del medicamento no superan los posibles riesgos cardiovasculares. La decisión ya ha sido asumida por las autoridades sanitarias españolas que ayer anunciaron la retirada progresiva del medicamento y de otros tres productos con el mismo principio activo: Avandia, Avaglim y Avandamet. La Agencia Española del Medicamento recomienda no interrumpir el tratamiento sin consultarlo con su médico.
La decisión se produce tres años después de que una investigación alertara de que el antidiabético, consumido por cerca de 7 millones de personas, podría elevar en un 43% el riesgo de infarto.
Estados Unidos ha optado por mantener la venta, con un nuevo etiquetado para informar de sus riesgos. Se recetará a nuevos pacientes en caso de que no puedan controlar su diabetes con otros medicamentos y los usuarios actuales podrán seguir tomándolo si así lo deciden. «Avandia» era el segundo producto más vendido de la farmacéutica GlaxoSmithKline.
jueves, 23 de septiembre de 2010
Llega a España la nueva vacuna contra la gripe
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Llega a España la nueva vacuna contra la gripe.
Itanza, la nueva vacuna contra la gripe estacional comercializada por Sanofi Pasteur MSD, tiene una mayor respuesta, es biosegura y además, su aplicación es más cómoda. Para los expertos y profesionales sanitarios, es una verdadera revolución ya que es la primera vacuna que se aplica por vía intradérmica.
Lo primero que hay que especificar es su formato, con un dispositivo de microinyección mucho más pequeño que las demás agujas, lo que consigue que sea más cómodo de aplicar y menos doloroso. Además, como ha explicado Sergio Montero, director general de Sanofi Pasteur MSD, 'una vez que se aplica la vacuna, la aguja se guarda sola y evita accidentes entre los profesionales como que se pinchen accidentalmente´. Sergio ha descrito Itanza como 'un verdadero hito de innovación para alcanzar una mayor protección contra la gripe'. Es la primera vez que se administra a través de la piel, sin llegar al músculo, y esto favorece su respuesta inmunológica al fabricar más anticuerpos neutralizantes.
Tal y como ha explicado el Doctor Raúl Ortiz de Lejarazu, jefe de servicio de Microbiología e Inmunología del Hospital Clínico Universitario de Valladolid, 'la gripe es la única enfermedad que no falta a su cita y llega todos los años puntualmente'. Los meses más probables de incidencia son entre noviembre y marzo, aunque enero y febrero es cuando más casos se suceden. El también director del Centro Nacional de la Gripe de Valladolid ha especificado que este año nos enfrentaremos a tres tipos de virus, el famoso H1N1, AH3 y el virus B. 'La vacuna está preparada contra estos tres virus'.
Cada año esta enfermedad estacional afecta a un 10 o 15% de la población, y hay años en que se ha llegado a alcanzar un 20% de incidencia. Es una epidemia típica de los meses fríos en España, y la única manera de evitarla es con la vacuna. El Doctor Ortiz ha insistido 'venimos de sufrir una guerra mediática donde se ha dicho que las vacunas no sirven. Pero en verdad, la vacuna es el único método demostrado capaz de cambiar el recorrido del virus'.
Itanza llega al mercado español con dos presentaciones. Itanza 9 µg, dirigida a personas entre 18 y 59 años, e Itanza 15 µg para los adultos de 60 o más años. Las personas de más edad tienen su sistema inmune más débil y las vacunas son menos efectivas en su cuerpo, por eso desde el laboratorio farmacéutico se decidió crear una vacuna adecuada a sus características. El Doctor José Ramón Juanes, jefe de Servicio de Medicina Preventiva del Hospital 12 de Octubre, ha reconocido que es una gran noticia que se hayan creado dos vacunas contra la gripe y está convencido de que 'la cobertura se va a incrementar con respecto al año pasado. De hecho, a día de hoy, ya tenemos en el registro más personas que se han vacunado en comparación a estas fechas hace un año'. El Doctor José Ramón ha pedido solidaridad, y que los profesionales sanitarios se vacunen todos sin excepción. 'Espero que se vacune todo el mundo'.
De momento sólo el gobierno autonómico de Melilla ha comprado vacunas para inocular a sus mayores de 70 años. Sergio Montero ha especificado 'lo acabamos de lanzar y seguro que en los próximos años las demás Comunidades Autónomas vacunarán a sus mayores'. Quien desee adquirir la vacuna en la farmacia deberá abonar alrededor de 14 euros.
---------------
CADA CUAL "QUE HAGA LO QUE QUIERA".
ESTA QUE ESCRIBE "NO GRACIAS" NO ME VACUNARÉ CON ITANZA.
"YA FUÍ VACUNADA CON EL AGREAL/VERALIPRIDA".
¿CÓMO ME DEJARON?.
¿CUÁNTAS REACCIONES ADVERSAS E INCLUSO IRREVERSIBLES Y MUERTES, POR LA CEPA H1N1, SI LA FAMOSA "GRIPE A " ?.
Llega a España la nueva vacuna contra la gripe.
Itanza, la nueva vacuna contra la gripe estacional comercializada por Sanofi Pasteur MSD, tiene una mayor respuesta, es biosegura y además, su aplicación es más cómoda. Para los expertos y profesionales sanitarios, es una verdadera revolución ya que es la primera vacuna que se aplica por vía intradérmica.
Lo primero que hay que especificar es su formato, con un dispositivo de microinyección mucho más pequeño que las demás agujas, lo que consigue que sea más cómodo de aplicar y menos doloroso. Además, como ha explicado Sergio Montero, director general de Sanofi Pasteur MSD, 'una vez que se aplica la vacuna, la aguja se guarda sola y evita accidentes entre los profesionales como que se pinchen accidentalmente´. Sergio ha descrito Itanza como 'un verdadero hito de innovación para alcanzar una mayor protección contra la gripe'. Es la primera vez que se administra a través de la piel, sin llegar al músculo, y esto favorece su respuesta inmunológica al fabricar más anticuerpos neutralizantes.
Tal y como ha explicado el Doctor Raúl Ortiz de Lejarazu, jefe de servicio de Microbiología e Inmunología del Hospital Clínico Universitario de Valladolid, 'la gripe es la única enfermedad que no falta a su cita y llega todos los años puntualmente'. Los meses más probables de incidencia son entre noviembre y marzo, aunque enero y febrero es cuando más casos se suceden. El también director del Centro Nacional de la Gripe de Valladolid ha especificado que este año nos enfrentaremos a tres tipos de virus, el famoso H1N1, AH3 y el virus B. 'La vacuna está preparada contra estos tres virus'.
Cada año esta enfermedad estacional afecta a un 10 o 15% de la población, y hay años en que se ha llegado a alcanzar un 20% de incidencia. Es una epidemia típica de los meses fríos en España, y la única manera de evitarla es con la vacuna. El Doctor Ortiz ha insistido 'venimos de sufrir una guerra mediática donde se ha dicho que las vacunas no sirven. Pero en verdad, la vacuna es el único método demostrado capaz de cambiar el recorrido del virus'.
Itanza llega al mercado español con dos presentaciones. Itanza 9 µg, dirigida a personas entre 18 y 59 años, e Itanza 15 µg para los adultos de 60 o más años. Las personas de más edad tienen su sistema inmune más débil y las vacunas son menos efectivas en su cuerpo, por eso desde el laboratorio farmacéutico se decidió crear una vacuna adecuada a sus características. El Doctor José Ramón Juanes, jefe de Servicio de Medicina Preventiva del Hospital 12 de Octubre, ha reconocido que es una gran noticia que se hayan creado dos vacunas contra la gripe y está convencido de que 'la cobertura se va a incrementar con respecto al año pasado. De hecho, a día de hoy, ya tenemos en el registro más personas que se han vacunado en comparación a estas fechas hace un año'. El Doctor José Ramón ha pedido solidaridad, y que los profesionales sanitarios se vacunen todos sin excepción. 'Espero que se vacune todo el mundo'.
De momento sólo el gobierno autonómico de Melilla ha comprado vacunas para inocular a sus mayores de 70 años. Sergio Montero ha especificado 'lo acabamos de lanzar y seguro que en los próximos años las demás Comunidades Autónomas vacunarán a sus mayores'. Quien desee adquirir la vacuna en la farmacia deberá abonar alrededor de 14 euros.
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CADA CUAL "QUE HAGA LO QUE QUIERA".
ESTA QUE ESCRIBE "NO GRACIAS" NO ME VACUNARÉ CON ITANZA.
"YA FUÍ VACUNADA CON EL AGREAL/VERALIPRIDA".
¿CÓMO ME DEJARON?.
¿CUÁNTAS REACCIONES ADVERSAS E INCLUSO IRREVERSIBLES Y MUERTES, POR LA CEPA H1N1, SI LA FAMOSA "GRIPE A " ?.
RETIRAN 5 MILLONES DE BOTES DE LECHA INFANTIL EN EE.UU. TRAS ENCONTRAR ESCARABAJO
Washington, 22 sep (EFE).- Los laboratorios estadounidenses Abbott Laboratories anunciaron hoy que han retirado de los comercios cinco millones de latas de leche en polvo para bebés de la marca Similac, tras encontrar un escarabajo en uno de los lotes.
La compañía ha paralizado la producción y el envío de la leche infantil y ha contactado con la Administración de Alimentos y Medicamentos de EEUU (FDA, por sus siglas en inglés) para comenzar a retirar el producto, según informaron medios locales.
La retirada incluye líneas de productos en polvo de Similac que se envasan en latas de 225 y 340 gramos, pero no afecta a los productos líquidos del fabricante.
Según confirmó la portavoz de los laboratorios, Melissa Brotz, la retirada se ordenó tras hallarse un pequeño escarabajo común en una de las fábricas, situada en Sturgis (Michigan).
La FDA ha indicado que la ingestión de este tipo de escarabajo podría "causar malestar e irritación" en el tracto gastrointestinal, provocando pérdida de apetito al niño. EFE
Estudio británico relaciona antipsicóticos con riesgo coágulos
Estudio británico relaciona antipsicóticos con riesgo coágulos.
Por Ben Hirschler
LONDRES (Reuters) - Los medicamentos antipsicóticos modernos, especialmente el líder en ventas de AstraZeneca llamado Seroquel, aumentarían el riesgo de los pacientes de desarrollar coágulos sanguíneos peligrosos, informaron el miércoles investigadores británicos.
El hallazgo, realizado a partir de una revisión de decenas de miles de registros de pacientes, se suma a la creciente evidencia que relaciona a los denominados antipsicóticos atípicos con efectos secundarios adversos.
Los atípicos -que también incluyen a Zyprexa de Eli Lilly, Risperdal de Johnson & Johnson y Abilify de Bristol-Myers Squibb- dominan el mercado de los antipsicóticos, que tuvo ventas por 16.000 millones de dólares en el 2009 según datos de Thomson Reuters.
Introducidos por primera vez hace más de 20 años, estos fármacos causan menos de los problemas de movimiento involuntarios asociados con las medicinas más antiguas, pero han sido vinculados con la diabetes y una mayor mortalidad en las personas con demencia.
También ha habido evidencia limitada que los vincula con coágulos sanguíneos peligrosos, como la trombosis venosa profunda y la embolia pulmonar, aunque los estudios previos eran pequeños.
El estudio británico, que comparó 25.000 casos de pacientes con tromboembolismo venoso frente a 89.000 controles, halló que las personas a las que se les recetaban antipsicóticos tenían un 32 por ciento más riesgo de coágulos sanguíneos graves tras ajustar otros posibles factores de riesgo.
El peligro fue mayor para las personas que tomaban fármacos atípicos, en lugar de otros antipsicóticos, y el mayor riesgo se observó ante el consumo de Seroquel: casi el triple.
No obstante, los investigadores señalaron que el riesgo absoluto aún se mantenía bajo, con cuatro casos adicionales de tromboembolismo venoso cada 10.000 pacientes con todos los antipsicóticos, y 21 episodios para el caso de Seroquel.
"Pese a que estos resultados se suman a la evidencia acumulada de eventos adversos para la salud con los fármacos antipsicóticos, deberían confirmarse con otras fuentes de datos", escribió el equipo de Julia Hippisley-Cox, de la Nottingham University, en British Medical Journal.
AstraZeneca dijo que revisaría los resultados del último estudio, aunque destacó el perfil riesgo-beneficio de su medicamento. Una portavoz de la empresa manifestó que el tromboembolismo venoso ya está mencionado en el prospecto del producto como una reacción adversa rara al fármaco.
(Editada en español por Ana Laura Mitidieri)
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